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Les 9 compétences de l’ingénieur-entrepreneur CentraleSupélec

 

  • Spécialiste des systèmes complexes grâce à un socle scientifique transdisciplinaire lui permettant d’appréhender un problème dans sa globalité ;

  • Expert dans son domaine car ayant approfondi ses connaissances dans une discipline des sciences de l’ingénieur tout en maîtrisant les autres ;

  • Créatif pour innover et s’adapter rapidement aux changements technologiques et socio-économiques ;

  • Réactif pour savoir discerner et saisir les opportunités et agir au bon moment ;

  • Multiculturel pour évoluer avec aisance dans un environnement international ;

  • A la pointe du digital pour tirer tous les partis des technologies numériques, évoluer avec elles, innover et « disrupter » ;

  • Convaincant car sachant communiquer, fédérer les équipes, provoquer l’adhésion à son projet ;

  • Leader de son projet et de son équipe ;

  • Humaniste car sensible aux enjeux de société, respectueux d’autrui et conscient de sa responsabilité.

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Les 6 principes directeurs de mise en œuvre du Nouveau Cursus

  • Un cursus organisé autour de compétences : il s’agit d’apprendre à l’élève-ingénieur à mieux les utiliser et à les appliquer dans des situations nouvelles ;

  • L’élève acteur de son cursus et de son projet : le cursus proposera une très grande diversité de parcours, de rythme, permettant à chacun de faire des choix motivés, de construire son projet professionnel et d’acquérir les compétences visées ;

  • Une pédagogie active : générer un contexte favorable au développement de la motivation des élèves avec une pédagogie active proposant à l’élève une diversité de modalités d’enseignement, l’augmentation du travail personnel, des méthodes d’évaluation adaptées et des exigences plus élevées ;

  • Apprendre de manière autonome : l’élève aura la capacité à se former de manière autonome et efficace pendant sa formation d’ingénieur, comme il aura à le faire tout au long de sa vie professionnelle ;

  • Une école internationale dans un environnement adapté : pour attirer les meilleurs étudiants du monde entier, aptes à travailler en milieu international et être reconnu par les meilleures entreprises et institutions, le cursus continuera à recruter des enseignants-chercheurs internationaux, et garantir à ses élèves la possibilité de suivre des parcours entièrement en anglais ;

  • Evolution du métier d’enseignant : renforcement des interactions, liens plus étroits avec la recherche, travail en équipe mono ou pluridisciplinaire, innovations pédagogiques.

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Le nouveau cursus se construit sur un fondement majeur et novateur : développer chez les élèves les compétences qui leur permettront d’aborder les situations les plus nouvelles et complexes dans leur globalité, avec pertinence, efficacité, créativité et sens des responsabilités. Il s’orientera également vers un parcours personnalisé, constitué de modules permettant à chaque élève de se former en fonction de son niveau de connaissances et de son projet professionnel.

 

L’École s’appuiera pour cela sur ses enseignants, véritables accompagnateurs de réussite, sur une pédagogie numérique favorisant l’autonomie des élèves, et sur ses liens avec la Recherche et les entreprises pour développer des enseignements en « mode projet ».

Pour candidater à une thèse à CentraleSupélec, le candidat doit être titulaire d’un diplôme de master ou d’un diplôme conférant le grade de master.
 

Le dossier de candidature en doctorat doit être déposé auprès de l’une des écoles doctorales à laquelle le directeur de thèse est rattaché et doit comporter au moins les éléments suivants : un sujet de thèse, un directeur de thèse, une unité de recherche, un financement. Les conditions d’admission sont définies au sein des écoles doctorales.
 

Le recrutement des doctorants s’effectue au sein des écoles doctorales.

 

Inscriptions

L’inscription pédagogique se fait au sein des écoles doctorales et l’inscription administrative au sein de l’établissement CentraleSupélec. Les inscriptions se font en ligne via le portail ADUM.
 

 

Coûts et financement

Le coût annuel de l’inscription en thèse est 391 euros. Les financements proviennent du MESR, des industriels, des organismes de financement (ANRT, Digiteo, …),voir : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid76053/le-financement-doctoral.html.
 

Charte des thèses

La charte formalise l'accord conclu entre le doctorant, son directeur de thèse, le directeur de l’unité dans laquelle est préparée la thèse de doctorat, le directeur de l’école doctorale de rattachement et l’établissement d’inscription. L'objectif de cette charte est de garantir le bon déroulement du doctorat et de favoriser la poursuite et la réussite de la carrière du jeune chercheur. Pour chaque signataire, elle précise les droits et les devoirs.
 

 

Formations transverses

Les doctorants sont invités à suivre des enseignements complémentaires (120 heures sur trois ans), en plus de leur travail de recherche, destinés à conforter ou compléter leur culture scientifique et préparer leur avenir professionnel.

Depuis le nouvel arrêté du 25 mai 2016, les doctorants préparent une convention de formation signée par le directeur de l’école doctorale, et constituent notamment un portfolio de formations répertoriant les compétences acquises pendant leur thèse.

CentraleSupélec participe à l’offre de formation à l’insertion professionnelle en ouvrant des formations transverses, mutualisées au sein des collèges doctoraux. Ces formations sont organisées en parcours, afin de donner plus de lisibilité au doctorant sur les secteurs d’activités et les secteurs concernés par l’offre de formations. Certaines formations sont labellisées (CDEFI, …).

Des visites en entreprises sont proposées chaque année dans le cadre des Doctoriales (séminaire résidentiel de 5 jours destiné à préparer l’insertion professionnel des doctorants) ou des parcours de formations transverses.

 

Missions complémentaires

Pendant sa formation, dans le cadre du contrat doctoral, le doctorant a la possibilité d’effectuer une mission complémentaire rémunérée représentant 1/6ème de son activité (renouvelable sous certaines conditions). Ces missions sont :

  • Des missions d’enseignement (64 heures équivalent TD) permettant ainsi aux doctorants d’exercer une activité d’enseignement en lien avec l’un des départements d’enseignement

  • Des missions de conseil et d’expertise pouvant être effectuées dans une entreprise, une collectivité territoriale, une administration, un établissement public, une association ou une fondation

  • Des missions de valorisation des résultats de la recherche scientifique et technique

  • Des missions de diffusion de l’information scientifique et technique

  • Un appel à candidatures est ouvert chaque année.

 

Cotutelles internationales

Afin de favoriser la mobilité des doctorants et développer une coopération scientifique internationale, un doctorant peut effectuer sa thèse en cotutelle entre deux établissements, l’un en France et l’autre à l’étranger. La cotutelle est réalisée soit à partir d’un accord-cadre signé entre les deux établissements et  d’une convention d’application, soit à partir d’une convention individuelle.

Sur le campus de Paris-Saclay (Gif-sur-Yvette)

  • Label européen

Afin de reconnaître la dimension européenne d’un projet doctoral, l’université Paris-Saclay délivre un label « Doctorat Européen » au doctorant ayant une expérience de mobilité en Europe d’au moins trois mois ainsi que sur d’autres critères

  • Association des doctorants

Il existe actuellement deux associations de doctorants à CentraleSupélec. Les associations organisent des animations scientifiques, des événements sociaux ou des rencontres avec les entreprises et des rencontres entre doctorants de CentraleSupélec et du GEC. Les doctorants participent activement à la vie de l’école.

Centrale supélec

Notre mission est de former à et par la recherche, et de préparer ainsi les doctorants aux métiers de la recherche et du développement, dans le secteur public comme dans le secteur privé. CentraleSupélec assure à la fois à ses doctorants une formation scientifique de haut niveau et garantit, par son lien avec les entreprises, leur insertion professionnelle. Ainsi, outre leur projet de recherche, les doctorants sont invités à suivre des enseignements complémentaires, destinés à conforter ou compléter leur culture scientifique et préparer leur avenir professionnel. La formation doctorale s'inscrit dans une logique de professionnalisation en apportant à ses doctorants toutes les compétences nécessaires à la réussite de leur carrière professionnelle dans les domaines de l'innovation, de la recherche et du développement. CentraleSupélec participe à l’offre de formation à l’insertion professionnelle en ouvrant des formations transverses, mutualisées au sein des collèges doctoraux.

Campus de Paris-Saclay

Depuis septembre 2015, le doctorat réalisé au sein du campus de Paris-Saclay, est sanctionné par un diplôme unique de doctorat délivré par l’université Paris-Saclay. Le collège doctoral de l’université Paris-Saclay réunit 21 écoles doctorales thématiques fédérées autour des laboratoires de recherche. CentraleSupélec collabore avec 5 des Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay : 

 

Campus de Rennes  

L’école doctorale Matisse (Mathématiques, télécommunications, informatique, signal, systèmes, électronique) constitue la plus importante école doctorale du périmètre Rennais en termes de doctorants et de thèses soutenues chaque année.

Les spécialités de l’école doctorale sont regroupées en quatre grands domaines scientifiques :

  • le domaine AST : Automatique, Productique et Robotique - Signal, Image, Vision - Télécommunications
  • le domaine EGE : Électronique - Génie Électrique - Photonique - Composants et dispositifs pour l'électronique et la photonique
  • le domaine INFO : Informatique
  • le domaine MI : Mathématiques et leurs Interactions

Conditions d'admission

 

Campus de Metz 

Depuis la fin des années 1980, la recherche en Lorraine s'est organisée en domaines disciplinaires, regroupant plusieurs établissements d'enseignement supérieur et organismes publics de recherche. 
CentraleSupélec est actuellement habilitée à délivrer le diplôme de doctorat pour les écoles doctorales suivantes : 

L'école doctorale C2MP a pour vocation à former des chercheurs de haut niveau scientifique dans les domaines des sciences chimiques - mécaniques - physique et science et ingénierie des matériaux. Outre un niveau d'excellence sur un thème précis, les doctorants issus de C2MP possèdent une culture scientifique, sociétale, entrepreneuriale et humaine qui en font des futurs acteurs d'avant-garde et responsables. 

Conditions d'admission

  • École Doctorale IAEM (Informatique, Automatique, Électronique, Électrotechnique, Mathématiques)

L’Ecole Doctorale IAEM-Lorraine organise la formation doctorale des disciplines Informatique, Automatique, Electronique-Electrotechnique, Mathématiques de l’Université de Lorraine. Elle forme annuellement environ 80 docteurs principalement dans les domaines scientifiques Mathématiques et Sciences et Technologies de l'Information.

Conditions d'admission

 

Cotutelles internationales 

Afin de favoriser la mobilité des doctorants et développer une coopération scientifique internationale, un doctorant peut effectuer sa thèse en co-tutelle entre deux établissements, l’un en France et l’autre à l’étranger. 
La cotutelle est réalisée soit à partir d’un accord-cadre signé entre les deux établissements et d’une convention d’application, soit à partir d’une convention individuelle.

Afin de reconnaître la dimension européenne d’un projet doctoral, l’université Paris-Saclay délivre un label « Doctorat Européen » au doctorant ayant une expérience de mobilité en Europe d’au moins trois mois ainsi que sur d’autres critères.

Au sein de son centre de recherche, CentraleSupélec accueille chaque année sur ses campus (Paris-Saclay, Metz et Rennes) plus de 400 doctorants dans l’un de ses 18 laboratoires.

Ces unités de recherche représentent 1200 personnels de recherche et couvrent des thématiques de recherche autour des systèmes complexes :

  • Génie Electrique, Electronique
  • Génie Industriel, Economie et Gestion
  • Informatique et Systèmes d'Information
  • Matériaux et Procédés
  • Mathématiques Appliquées
  • Mécanique, Energétique et Combustion
  • Physique Appliquée
  • Traitement du signal, Automatique

Afin de maitriser la complexité des systèmes et de répondre à neuf enjeux sociétaux :

  • Aéronautique et Spatial
  • Biotechnologies
  • Cybersécurité
  • Energie, Transports et Nouvelles Mobilités
  • Industrie du futur
  • Réseaux et Télécommunications
  • Santé et Vivant
  • Sciences des Données et Intelligence Artificielle

La politique de recherche de CentraleSupélec et les laboratoires de recherche se tournent vers une approche interdisciplinaire dans le but de favoriser les synergies entre les laboratoires, tout en assurant un continuum entre la recherche amont et la recherche en lien avec les industries et les services. CentraleSupélec assure à la fois à ses doctorants une formation scientifique de haut niveau et garantit par son lien avec les entreprises l’insertion professionnelle de ses futurs docteurs.

Une offre de formations d’ingénieur totalement rénovée

En 2018, CentraleSupélec a totalement rénové son offre de formation d’ingénieur, afin de répondre toujours mieux aux besoins des entreprises et de la société. Elle propose une formation d’ingénieur généraliste innovante, bâtie à partir du meilleur des 2 anciens cursus précédents (Centrale Paris et Supélec).

Le futur cursus généraliste CentraleSupélec : un projet emblématique de l'Ecole pour 2018

L'ingénieur CentraleSupélec est un(e) ingénieur(e)-entrepreneur(e) de haut niveau scientifique. Au sein d’une école internationale et dans un environnement adapté prenant en compte l’évolution du métier d’enseignant, la formation Ingénieur CentraleSupélec a pour principe directeur un cursus organisé autour de compétences, fort d’une pédagogie active. Il permet à chaque élève ingénieur de construire lui-même son parcours de formation au regard de son projet professionnel.

Le nouveau cursus se construit sur un fondement majeur et novateur : développer chez les élèves les compétences qui leur permettront d’aborder les situations les plus nouvelles et complexes dans leur globalité, avec pertinence, efficacité, créativité et sens des responsabilités. Il s’orientera également vers un parcours personnalisé, constitué de modules permettant à chaque élève de se former en fonction de son niveau de connaissances et de son projet professionnel.
 

 

 

En septembre 2017, CentraleSupélec a ouvert les portes de son tout nouveau campus à Gif-sur-Yvette officiellement intitulé "Campus Paris-Saclay" sur le plateau de Saclay, 105 000 m2 d’excellence et d’innovation composé de 4 bâtiments, dont deux entièrement neufs, destinés à favoriser l’échange et la transversalité.

D’importants équipements mutualisés (logements étudiants, learning center, bibliothèque, gymnase, terrains de sports, etc) complètent cet ensemble qui, à terme, formera aux côtés de l’ENS Paris-Saclay et de l’Université Paris-Sud le plus grand quartier du plateau de Saclay : le quartier du Moulon.

Situé à 25km au sud de Paris, il drainera plus de 30 000 personnes, dont 8 000 étudiants et des salariés des secteurs du public et du privé.

Ci-dessous, le bâtiment Francis Bouygues.

Ci-dessous, le bâtiment Gustave Eiffel.

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Saclay 2.0 : la campagne de mécénat dédiée au nouveau campus

 

Forte du soutien d’une soixantaine d’entreprises partenaires et de 3 500 diplômés, la Fondation École Centrale Paris a lançé en 2014 « Saclay 2.0 », sa nouvelle campagne de mécénat dédiée à la construction du nouveau campus CentraleSupélec. Avec pour objectif de réunir d’ici 2017 les 10% du budget de construction du campus devant être issus du mécénat, soit 25 M€, la campagne clôturait l’année 2015 avec 16 M€ collectés et 4 200 donateurs particuliers.
Ce succès témoigne de l’attachement des Alumni à leur École, et de leur enthousiasme pour ce beau projet.

 

 

Une volonté : poursuivre le développement des campus de Metz et de Rennes

 

Si la réussite du futur campus de Saclay constitue l’un des projets phares de son avenir, CentraleSupélec place également la poursuite du développement des campus de Rennes et de Metz au cœur de ses priorités. Accueillant 524 étudiants, les campus de Bretagne et de Lorraine brillent par leurs laboratoires de recherche et leur ancrage sur des territoires favorisant les relations avec les PME et ETI, appelées à jouer un rôle majeur en matière d’innovation et de création d’emplois.

 

 

Campus de Rennes

 

Depuis 1972, le campus CentraleSupélec de Rennes est implanté dans un environnement technologique de haut niveau au sein du technopôle Rennes Atalante et MEITO où sont rassemblés centres de recherche, institutions d'enseignement supérieur et entreprises de pointe. Fort de 275 élèves-ingénieurs et de 28 étudiants en Mastères Spécialisés, le campus accueille trois majeures de 3e année :

  • ISA : Ingénierie des Systèmes Automatisés,
  • SERI : Systèmes Électronique, Réseaux et Images,
  • SIS : Systèmes d'Information Sécurisés.

Le campus porte également 2 Mastères Spécialisés : Cybersécurité (Sécurité des Systèmes d'Information)  en partenariat avec TELECOM Bretagne et Architecte de Systèmes Embarqués.

 

Ces activités académiques sont menées en étroite liaison avec l'Université de Rennes 1 au sein de l'école doctorale MATISSE et de l'Université Bretagne Loire.

CentraleSupélec, à travers son campus de Rennes, est également membre fondateur du pôle de compétitivité à vocation mondiale Images et Réseaux et de l'Institut de Recherche Technologique B<>Com.

 

 

Campus de Metz

 

Ouvert en Lorraine en 1985, le campus CentraleSupélec de Metz accueille 221 élèves-ingénieurs, répartis sur les trois années d'études. Les options de 3e année sont ouvertes, dans le cadre de la mobilité inter-campus, à l'ensemble des élèves de l'École. Elles recouvrent les domaines des "Systèmes Photoniques et de Communication" et des "Systèmes Intéractifs et Robotiques".

 

Les activités de formation continue et de recherche se développent sur les mêmes thèmes, au sein des équipes d'enseignement et de recherche du campus messin. Les équipes de recherches du campus de Metz sont IMS (Information, Multimodalité & Signal) et OPTEL (Optique et électronique pour les télécoms). Le campus de Metz compte un Laboratoire associé LMOPS : Laboratoire Matériaux Optiques, Photoniques et Systèmes avec l’Université de Lorraine.

 

La plus grande université d’Europe

 

L’Université Paris-Saclay fédère 14 établissements d’enseignement et de recherche, 60 000 étudiants, 6 000 doctorants, 9 000 enseignants-chercheurs et chercheurs. Elle déploie en outre un modèle novateur conjuguant formation, recherche et innovation, plaçant l’étudiant en son centre dans une dynamique d’excellence et de réussite.

Premier pôle scientifique européen, le cluster Paris-Saclay représente quant à lui un territoire s’étendant sur 49 communes et abritant 350 000 emplois et 13% de la recherche française.

CentraleSupélec est membre-fondateur de l’Université Paris-Saclay. Elle co-opère 5 Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay et propose la totalité de son offre de Master en région parisienne dans son cadre.

 

 

Une implication croissante dans les projets phares de l’Université Paris-Saclay

Occuper une place de leader au sein de l’Université Paris-Saclay, c’est pour CentraleSupélec savoir créer des synergies avec l’ensemble des acteurs académiques et industriels du plateau, et générer des idées et projets contribuant à la réussite et au rayonnement de l’Université.

 

Une recherche moteur de leadership

C’est d’abord par sa recherche que CentraleSupélec s’est imposée comme un pilier du cluster Paris-Saclay :

  • en créant  en 2009 le Collège des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (CSIS)
  • en remportant 12 appels d’offre dans le cadre du programme Investissements d’Avenir, destiné à doter l’Université Paris-Saclay de laboratoires et équipements mutualisés d’excellence

 

Depuis, CentraleSupélec participe à 6 laboratoires d’excellence (LABEX) et un équipement d’excellence (EQUIPEX) et un IRT (Institut de Recherche Technologique) et co-dirige 5 Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay.
 

Voir partie recherche

 

 

Pour soutenir ses activités de recherche, CentraleSupélec a  développé des plates-formes de technologiques de pointe, dans le cadre d’équipements propres ou de collaboration avec ses principaux partenaires.

SINAPSE : salle 3D immersive pour la recherche et l’enseignement

Digiscope est un réseau de plateformes pour la visualisation interactive de grandes quantités de données et de calculs complexes. Installées au sein de l'Université Paris-Saclay, les dix salles de Digiscope sont interconnectées par un réseau de téléprésence permettant la collaboration distante. Les applications visées sont la recherche scientifique, la conception industrielle, l'aide à la décision et la formation. CentraleSupélec a développé l’équipement Sinapse (Salle Interactive Numérique d’Affichage pour Pédagogie et Science d’Excellence), un mur d’images reposant sur un système de rétroprojection en 3D sur un écran d’environ 11m2. Les utilisations principales de la plateforme sont la visualisation de données scientifiques issues du calcul haute performance, l’enseignement et les projets d’élèves.

Pour augmenter l’immersivité, el suivi du mouvement est assuré par 4 caméras infra-rouges. La puissance de calcul pour le rendu temps réel est assurée par une machine possédant 32 cœurs, 1 To de RAM, 2 cartes graphiques Nvidia K6000 et des disques SSD.

 

Mésocentre de calculs : de très hautes performances

Actif depuis 2010, le mésocentre de CentraleSupélec offre un service de haute performance pour la recherche dans le domaine de la simulation numérique. Y sont en effet développées de nouvelles méthodes numériques adaptées au calcul parallèle, et des codes destinés aux supercalculateurs nationaux et européens. C’est aussi un lieu de rencontre et d’échange de savoirs par le biais de séminaires et de formations.

Jusqu’en 2014, il offrait une puissance de 816 cœurs de calcul et plus de 2 Tera octets de mémoire vive et environ 30 Tera octets de stockage, la plateforme enregistrait un taux de charge proche de la saturation, notamment dû à son nombre croissant d’utilisateurs. L’extension mise en place offre 288 cœurs de calcul et 384 Giga octets de mémoire supplémentaires, avec pour résultat des machines plus rapides et plus efficaces.

 

Microscope MEB-FIB Helios 660

Au sein du laboratoire LMPS, l’Helios-660 combine micrsoscopie électronique à balayage (MEB) et usinage ionique de haute précision à l’aide d’un faisceau focalisé (FIB). Il est équipé d’outils d’analyse cristallographique (EBSD) et chimique, ainsi que de 7 différents détecteurs pour l’imagerie électronique.

 

Il permet ainsi :

  • une imagerie haute résolution de la surface d’échantillons (résolution allant jusqu’à 0,7 nm en basse tension) ;
  • le prélèvement d’échantillons tels que la préparation de lames MET observées ensuite potentiellement jusqu’à la résolution atomique ;
  • la caractérisation complète de la microstructure en trois dimensions (analyse cristallographique et chimique) ;
  • l’observation des interfaces à ces échelles ;
  • la reconstruction tridimensionnelle d’un échantillon, par exemple de nanoparticules et de leur enchevêtrement ;
  • l’usinage de petits échantillons prélevés à des endroits précis de la surface sur des échantillons conducteurs ou non (neutraliseur de charges disponible pour les échantillons isolants).

La colonne électronique (500 V-30 kV) permet, grâce à un monochromateur ainsi qu’une platine de décélération de faisceau, d’atteindre des résolutions sub-nanométriques. Elle est équipée de nombreux détecteurs pouvant éventuellement superposer leurs signaux permettant ainsi de révéler au mieux les plus petits détails de la microstructure. La colonne ionique, avec une résolution de 4 nm, permet un gravage précis de structures complexes à l’échelle nanométrique que ce soit pour la préparation de lames pour la microscopie en transmission ou pour la caractérisation tridimensionnelle.

 

MET TITAN

Le TITAN3 G2 peut fonctionner avec plusieurs tensions (60 à 300 kV), permettant un compromis entre résolution ultime et dégradation du matériau. D’une très grande stabilité, il peut fonctionner en mode sonde avec correction d’aberrations, d’où une très bonne résolution spatiale.

Couplé aux différents moyens d’analyse (chimique par dispersion d’énergie X, ainsi qu’électronique par pertes d’énergie des électrons), ce mode permet d’obtenir une cartographie à la fois structurale, chimique et électronique des matériaux à l’échelle atomique. Autre possibilité de couplage, la tomographie avec les analyses chimiques précédemment citées permet une véritable nanotomographie chimique car présentant une résolution ultime de 1 nm. Plusieurs autres modes d’observation cités auparavant peuvent être couplés.

 

Torche à plasma

Inaugurée en novembre 2014, la torche à plasma a été créée au sein du laboratoire EM2C  pour tester les matériaux qui protègent les capsules spatiales lorsqu’elles pénètrent l’atmosphère.

Complétant les technologies existantes pour l’étude de la rentrée atmosphérique, cette torche offre assez de puissance pour générer des plasmas d’entrée réalistes, à des températures allant jusqu’à 10 000 K.

Elle est en outre équipée de diagnostics optiques de pointe afin de mieux comprendre la physique du rayonnement et de l’ablation, et contribuer ainsi au développement de modèles plus précis de ces phénomènes. Plus globalement, elle sera d’une aide nouvelle et précieuse pour renforcer la recherche européenne et la technologie dans le domaine des plasmas spatiaux.

 

Nano-Tomographe à rayons X

Installé au sein de la Chaire de Biotechnologie, sur le campus recherche de Reims de CentraleSupélec, le Nano-Tomographe à rayon X (EasyTom de RX-solution) offre la possibilité de réaliser une description tridimensionnelle des objets, couvrant une échelle sub-micrométrique (400 nm) sur des échantillons millimétriques jusqu'à des échelles micrométriques sur des échantillons centimétriques. Cet instrument est un moyen non destructif d’observation, permettant la génération de données essentielles pour caractériser la structure interne des objets en trois dimensions. Il est doté de deux sources de rayons X, comprenant une source scellée µ-foyer de 150 kV et une source ouverte nano-foyer de 160 kV. Pour plus de flexibilité, il est équipé de deux imageurs : un scintillateur couplé à une CCD pour une résolution élevée et un capteur plan matriciel permettant des acquisitions rapides et avec de grands échantillons. Le dispositif est complété par le logiciel de traitement d’images Avizo.

Les applications de cet équipement sont variées, englobant la détection des défauts dans les composants tels que la porosité et les fissures, ainsi que la caractérisation et l'analyse de la microstructure des matériaux hétérogènes, notamment composites, céramiques, produits biologiques. Les images 3D permettent une représentation digitale de la morphologie destinée à la prédiction des propriétés macroscopiques par résolution numérique de problèmes homogénéisation.  Enfin, cet équipement permet l'inspection 4D (3D spatial résolu en temps) des objets lors de sollicitations variées (chargements hydriques, mécaniques ou thermiques).

Cet équipement a été acquis en 2017 avec l'aide de :

 

Smart Room

La SmartRoom est une plateforme d'expérimentation du campus de Metz de CentraleSupélec.

Elle intègre un réseau de capteurs (caméras, microphones) et des systèmes de diffusion d'information (écrans, haut-parleurs). La plate-forme robotique permet d'expérimenter les recherches réalisées dans le domaine de la robotique cognitive et interactive dans un environnement ou cohabitent personnes et robots.

Cette plateforme permet de mettre en situation les recherches menées par les équipes de recherche de l'UMI n°2958 GeorgiaTech-CNRS (IDMaD et MALIS) dans les domaines du traitement du signal, de l'apprentissage numérique et symbolique et du calcul distribué.

Elle est également ouverte à d'autres projets extérieurs académiques ou industriels.

 

Light stage

Alors que les géants de la création multimédia s’arrachent les meilleurs infographistes pour concevoir des films et des jeux-vidéo toujours plus réalistes, des chercheurs de l’Université de Californie du Sud ont mis au point un scanner 3D haute résolution permettant de capturer les propriétés lumineuses (texture et réflectance) de n’importe quel objet, vivant ou non.

Les raisons de tels travaux de recherche ? Le cerveau humain est capable de discerner les images de synthèse des images réelles avec un taux de réussite dépassant l’entendement. Cette capacité est d’autant plus affutée qu’il s’agit d’un visage humain, la plus petite imperfection lui faisant perdre toute trace de réalisme.

C’est ici que la technologie Light Stage intervient. Celle-ci est capable de générer un modèle lumineux 3D ultra-haute définition d’un visage humain voire d’un acteur complet ! Il suffit alors d’utiliser un algorithme adapté pour intégrer ce modèle dans une scène donnée. Le résultat est bluffant, et même nos cerveaux ne parviennent plus à faire la différence.

Un groupe de quatre étudiants du campus de Rennes s’est lancé dans la réalisation d’un tel système, une première en France !

 

 

La technologie Light Stage mise en lumière

Cartographie des normales, obtenues par un Light Stage

Un modèle complet de visage humain est donné par un modèle 3D ultra fin associé à une texture et à une matrice de réflectance. La prouesse réalisée par la technologie Light Stage actuelle est notamment la capture de ce modèle 3D, les technologies antérieures ne permettant l’extraction que d’un modèle grossier par stéréoscopie.

L’obtention d’un tel degré de détail est rendue possible grâce à l’exploitation des propriétés spécifiques de la peau : la lumière directement réfléchie conserve sa polarisation, alors que celle réfléchie par transluminescence la perd partiellement. Par filtrage et différence, il est possible d’extraire la réflexion spéculaire du visage, selon toutes les directions de l’espace.

C’est cette information qui, par transformations mathématiques assez simples, révèle les moindres détails de la géométrie du visage, jusqu’au moindre pore de la peau !

 

Plateforme de spectroscopies électroniques

Cette plateforme est utilisée par le Laboratoire de Génie Electrique de Paris.

Principe des spectroscopies électroniques : Analyse chimique de surface des matériaux (sauf H et He) et information sur leur structure électronique. Analyse qualitative, quantitative et non destructive sous ultravide (10-9 -10-10 Torr).

Profondeur d’analyse : Spectroscopie de photoélectrons X (XPS) :3 à 5 nm; Spectroscopie Auger :de l'ordre de 2 nm; Spectroscopie de photoélectrons UV (UPS) :1 nm

Contact : David Alamarguy.

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