GEEPS : Laboratoire de Génie Electrique de Paris - UMR 8507 : CNRS, CentraleSupélec, Université Paris-Sud 11, Université Paris 6
L2S : Laboratoire des Signaux et Systèmes - UMR 8506 : CNRS, CentraleSupélec, Université Paris-Sud 11
Metz
LMOPS : Laboratoire "Matériaux Optiques, Photonique et Systèmes" – EA 4423, Université Paul Verlaine Metz, CentraleSupélec
UMI 2958 : Unité de recherche commune au CNRS et au Georgia Institute of Technology dans les domaines des télécommunications et des nouveaux matériaux
Rennes
IETR : Institut d'Electronique et de Télécommunications de Rennes - UMR 6164 : CNRS, Université de Rennes 1, INSA de Rennes, Université de Nantes, CentraleSupélec
IRISA : Institut de Recherche en Informatique et Systèmes Aléatoires - UMR 6074 : CNRS, Inria, Université de Rennes 1, Université de Bretagne Sud, ENS Rennes, INSA de Rennes, CentraleSupélec, IMT Atlantique.
CentraleSupélec est un Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) constitué sous la forme d’un Grand Établissement, relevant de la tutelle conjointe du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et du Ministère de l’Économie, de l'Industrie et du Numérique.
Le 1er janvier 2015, CentraleSupélec voyait officiellement le jour, unissant définitivement l’École Centrale Paris et Supélec, deux grandes écoles d’ingénieurs françaises qui n’ont cessé, depuis 2009, d’intensifier leurs collaborations et réalisations communes dans leurs domaines d’activité : formation initiale, formation continue et recherche.
Partenaires depuis la mise en place en 1969 du concours commun, les deux Écoles étaient naturellement amenées à s’allier partageant les mêmes valeurs d’excellence, d’innovation, d’entreprenariat, d’ouverture internationale et de leadership.
En devenant CentraleSupélec, elles se complètaient dans leurs domaines de recherche pour couvrir l’ensemble des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes.
Aujourd’hui, forte de ses campus de Paris-Saclay, Metz et Rennes, CentraleSupélec compte :
4200 étudiants et 370 enseignants et enseignants-chercheurs en interaction avec son réseau international
3 écoles à l’étranger (Chine, Inde et Maroc) et 5 laboratoires internationaux associés (Brésil, Canada, États-Unis et Chine).
L'École est partenaire de 176 universités étrangères et de 140 entreprises.
Elle développe son excellence académique et sa recherche au travers de coopérations fructueuses avec les grands organismes nationaux tels que le CNRS, le CEA, l’INRIA, l’INSERM et l’ONERA.
Classée parmi les meilleures universités au Monde (137e par QS), et pour l’employabilité de ses diplômés (28e par QS ; 35e par THE), CentraleSupélec jouit d’un réseau de 35 000 diplômés en activité, dans tous les secteurs et sur les 5 continents.
CentraleSupélec est membre-fondateur de l’Université Paris-Saclay, du réseau T.I.M.E., de l’Alliance 4Tech, partenaire stratégique de l’ESSEC Business School et préside le Groupe École Centrale.
Une offre complète de formations d’excellence
CentraleSupélec est une institution de référence à l’échelle mondiale pour ses 4 socles d’activité :
la formation de docteurs (PhD) s’appuyant sur son implication forte dans 8 écoles doctorales, et la formation Masters (18 mentions qui reflètent les axes de sa recherche)
Une nouvelle offre de formations d’ingénieurs en 2018
En septembre 2018, CentraleSupélec a rénové totalement son offre de formation d’ingénieur, afin de répondre toujours mieux aux besoins des entreprises et de la société. Elle propose une formation d’ingénieur généraliste innovante, bâti à partir du meilleur des 2 cursus actuels et intégrant les compétences complémentaires des 2 écoles.
L'ingénieur CentraleSupélec est un(e) ingénieur-entrepreneur de haut niveau scientifique. Au sein d’une école internationale et dans un environnement adapté prenant en compte l’évolution du métier d’enseignant, la future formation Ingénieur CentraleSupélec a pour principe directeur un cursus organisé autour de compétences, fort d’une pédagogie active. Il permet à chaque élève ingénieur de construire lui-même son parcours de formation au regard de son projet professionnel.
Un Grand Etablissement de niveau international
Classée parmi les 200 meilleures universités mondiales par QS, CentraleSupélec est forte d’un réseau de 176 universités partenaires dans 45 pays, de 80 accords de double-diplôme, de 30% d’étudiants étrangers, de 24% de professeurs étrangers et d’un réseau d’Alumni de 35 000 hommes et femmes en activité sur tous les continents.
A l’image des meilleures institutions d’enseignement supérieur CentraleSupélec développe continuellement sa présence dans les grands pays d’avenir.
En 2005, l’École Centrale Paris, avec le Groupe École Centrale qu’elle préside, devenait la première grande école d’ingénieurs française à exporter son modèle pédagogique à l’étranger avec la création de l’École Centrale Pékin en Chine. En 2014, Mahindra École Centrale ouvrait ses portes à Hyderabad en Inde, et en 2015, c’est l’École Centrale Casablanca qui était lancée au Maroc.
L’École met également en œuvre une politique active de partenariats avec des institutions académiques et de recherche du monde entier, avec 5 laboratoires internationaux associés (Chine, Etats-Unis, Singapour et Canada).
Ainsi, CentraleSupélec construit un groupe mondial d’écoles et de laboratoires interconnectés, encore appelé à s’étendre. Dans cette dynamique, le Groupe École Centrale a signé en octobre 2015 un protocole d’accord avec l’Université de São Paulo pour étudier l’opportunité d’ouvrir une école au Brésil et travaille sur un projet d’École Centrale « Afrique Australe » à l’Île Maurice.
L’École d’ingénieurs leader de l’Université Paris-Saclay
CentraleSupélec a beaucoup contribué à la définition du projet de l’Université Paris-Saclay, au développement de ses Écoles Doctorales, de son offre de Masters, et à sa labellisation comme Initiative d’Excellence (IDEX).
École d’ingénieurs leader de l’Université, CentraleSupélec :
co-dirige 5 Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay : Interfaces, SMEMG, STIC, EOBE, et Mathématiques Jacques Hadamard.
propose la totalité de son offre de Master en région parisienne dans le cadre de l’Université Paris-Saclay. Pour la période 2015-2019, le programme est restructuré autour de 14 mentions et 40 parcours de 2e année.
participe à 6 laboratoires d’excellence (LABEX) et 2 équipements d’excellence (EQUIPEX)
créée des partenariats avec les acteurs du Plateau de Saclay (EDF R&D, CEA, CNRS, IRT SystemX, etc).
Les dates clés de l’École Centrale Paris et de Supélec
Au XIXe siècle, il est impératif pour l’industrie française d’accompagner l’ère industrielle et favoriser le développement des applications pratiques des grandes découvertes scientifiques récentes. Il faut des ingénieurs civils dotés d’une solide formation dans les domaines industriels et scientifiques. Naissent alors, sous l’impulsion de grands scientifiques français l’École Centrale des Arts et Manufactures (1829) et l’École Supérieure d’Électricité (1894).
1829 / Centrale Paris
L’École Centrale des Arts et Manufactures est créée pour former “les médecins des usines et des fabriques” par Alphonse Lavallée, Jean-Baptiste Dumas, Théodore Olivier et Eugène Péclet.
1857 / Centrale Paris
Afin d’assurer sa pérennité Alphonse Lavallée, premier directeur, fondateur et propriétaire de l’École Centrale, fait don de celle-ci à l’État français.
1884 / Centrale Paris
L’École Centrale s’installe dans de nouveaux locaux rue Montgolfier à côté du Conservatoire des Arts et Métiers.
1894 / Supélec
Créée par Eleuthère Mascart et la Société internationales des électriciens, l’École Supérieur d’Électricité se veut référence dans les sciences de l’information, de l’énergie et des systèmes.
1896 / Supélec
Nouvelle dénomination : École Supérieure d’Électricité. Le directeur est Paul Janet, Normalien.
1921 / Centrale Paris
Les premières Centraliennes sont diplômées.
1927 / Supélec
Deux femmes obtiennent pour la première fois le diplôme d’ingénieur Supélec.
1927 / Supélec
Inauguration du siège à Malakoff. Le bâtiment abrite l’École mais aussi la Société Française des Électriciens.
1946 / Centrale Paris
L’École demande son inscription au budget de la Nation. Rattachée au Ministère chargé de l’éducation, elle est dotée de la personnalité civile et morale et de l’autonomie financière.
1960 / Supélec
Passage de la scolarité à 3 ans.
1969 / Centrale Paris
L’École s’installe sur le campus de Châtenay-Malabry. Elle réorganise en profondeur ses enseignements et choisit la marque “École Centrale Paris”.
1972 / Supélec
Ouverture du campus de Rennes.
1975 / Supélec
Installation à Gif-sur-Yvette.
1985 / Centrale Paris
L’École devient EPSCP et classée “Grand établissement d’enseignement supérieur” dans le cadre de la nouvelle Loi. Elle est habilitée à délivrer le Doctorat.
1985 / Supélec
Ouverture du campus de Metz.
1988 / Centrale Paris
Lancement du réseau T.I.M.E. (Top Industrial Managers for Europe) et du programme de doubles diplômes européens.
1990 / Centrale Paris
La charte portant création de “l’Intergroupe des Écoles Centrales”, aujourd’hui Groupe École Centrale, est signée dans les locaux du Musée Picasso.
2005 / Centrale Paris
Ouverture de l’École Centrale Pékin en Chine.
2007 / Centrale Paris
Nouveau projet éducatif centralien et refonte du cycle ingénieur sous l’appellation “Ariane”.
2009 / Centrale Paris
Création du “Collège des Sciences de l’Ingénieur et des Systèmes”. Signature du Partenariat stratégique avec l’ESSEC Business School.
2013 / Centrale Paris
Convention relative à la création de l’École Centrale Casablanca signée au Maroc.
2014 / Centrale Paris
Ouverture de Mahindra École Centrale, à Hyderabad en Inde.
Les dates clés de l’Alliance CentraleSupélec
La collaboration entre l’École Centrale Paris et Supélec, initialement limitée au concours commun, s’est progressivement étendue au cours des années pour couvrir de nombreux domaines d’enseignement ou de recherche et aboutir à la création de CentraleSupélec le 1er janvier 2015.
1967 :
L’École Centrale Paris, Supélec, Sup Optique et l’École Centrale Lyon signent une convention pour organiser à partir de 1968, le Service du concours à épreuves écrites communes.
2005 :
Signature d’un accord-cadre de coopération, notamment dans les domaines de la recherche et des relations industrielles.
2006 :
Signature d’un accord entre Centrale Paris, Supélec et Schlumberger pour la création d’un centre d’expertise commun.
2006 :
Création avec le CNRS de C3S (Centrale Supélec Sciences des Systèmes), groupement d’Intérêt Scientifique visant à apporter des réponses efficaces aux systèmes complexes.
2006 :
Ouverture réciproque aux étudiants des options de 3e année des 2 cycles ingénieurs.
2006 :
Mise en place par les 2 Écoles d’un partenariat académique avec l’ESCP-EAP sur les thématiques scientifiques et sur le management en contexte international.
2007 :
L’entité Centrale Paris-Supélec a le statut de membre fondateur du Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES) UniverSud Paris.
2008 :
Centrale Paris rejoint Supélec dans deux des RTRA d’Île-de-France, Digitéo et le Triangle de la Physique.
2008 :
Création d’un Master international dédié à l’ingéniérie nucléaire, en partenariat avec l’Université Paris-Sud, Paris Tech et le CEA avec le soutien de groupes industriels.
2009 :
Création d’une option de 3e année commune dans le domaine de l’énergie. Soutenue par de nombreux partenaires industriels
2009 :
d’un Groupement d’Intérêt Économique, GIE « Centrale Paris & Supélec », destiné à faciliter la valorisation de leur recherche commune.
2009 :
Création du Collège des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (CSIS), en partenariat avec l’ENS Cachan et l’Université Paris XI Orsay.
2009 :
Création de la 1ère chaire commune « Sciences des Systèmes et défis énergétiques », soutenue par EDF.
2010 :
Mise en place d’un double-diplôme avec l’université Paris-Sud.
2010 :
Premier contrat du GIE avec General Electric, portant sur les aspects de visualisation d’images médicales.
2010 :
Premier forum étudiants entreprises commun Centrale-Supélec, rassemblant près de 200 entreprises et 3000 étudiants.
2011 :
Création de la marque CentraleSupélec.
2011 :
Les écoles sont 2 partenaires essentiels et complémentaires des projets de laboratoires d’Excellence (Labex) et Equipex, et jouent un rôle décisif dans l’obtention du label « IDEX ».
2012 :
Choix du projet architectural et urbain de l’agence OMA pour la future École Centrale Paris à Saclay.
2012 :
Centrale Paris et Supélec remportent ensemble 2 Labex, dans le cadre de l’Université de Paris-Saclay.
2012 :
Centrale Paris et Supélec sont membre fondateur de l’université Paris-Saclay, labellisée IDEX (Initiative d’Excellence).
2013 :
Hervé Biausser est nommé Directeur de Supélec et reconduit à ses fonctions de Directeur de Centrale Paris.
2014 :
Mise en place d’un catalogue commun de formation continue (Executive Education).
2015 :
Création du nouveau Grand Établissement CentraleSupélec et fusion des activités de recherche.
2015 :
Ouverture de l’École Centrale Casablanca au Maroc.
2017 :
Inauguration du nouveau campus de Saclay et fermeture du campus de Châtenay-Malabry.
2018 :
Mise en place du cursus Ingénieur CentraleSupélec.
Séjour semestre dans les Universités suivantes Campus Châtenay :
UBA
Rosario
Cordoba
BRAFITEC
Forfait :
1000 €
Séjour semestre ou DD dans les Universités suivantes Campus Châtenay :
UFRJ
USP
PUC Rio
Campinas
UFRGS
Universidade Federal do Ceara
Séjour semestre ou DD dans les Universités suivantes Campus Gif – Rennes - Metz :
UFRJ
USP
UFRN
AMIE Conseil Régional Ile de France
Sur 10 mois maximum :
275 € / mois Pour les étudiants rattachés aux campus de Châtenay et de Gif uniquement.
Dernier avis d’imposition du foyer fiscal : Revenu brut global / nombre de parts fiscales du foyer < 19 190€
Dossiers prioritaires :
séjours hors Europe
séjours non-diplômants (mobilité semestre)
non-cumul avec une autre aide à la mobilité internationale
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (AMI)
Sur 9 mois maximum :
400 € / mois Durée du séjour de 2 mois minimum
Dossiers prioritaires :
échelon de bourse
séjours études (DD, semestre ou S7+S8)
destination (frais transport + coût de la vie sur place)
non-cumul avec une autre aide à la mobilité internationale
Conseil régional de Bretagne
Sur 10 mois maximum
Forfait 200 € / mois
+ 150 € / mois pour boursiers CROUS
+ 150 € / mois si handicap Pour les étudiants rattachés au campus de Rennes uniquement.
Dossiers prioritaires:
séjours hors Europe
séjours diplômants (DD) ou stages non-rémunérés (80 jours min.)
critères sociaux (boursiers du CROUS), quotient familial du foyer fiscal < 30000 €
critères académiques (bons résultats en 1A et 2A)
non-cumul avec une autre aide à la mobilité internationale
L’École de l’entrepreneuriat
École de l’entrepreneuriat, CentraleSupélec a su développer un environnement unique : des entreprises étroitement associées à l’ensemble des cursus, des formations ou des modules dédiés ans ses différents programmes de formation, un Parcours digital, un Institut Open Innovation (lien vers site) dont elle est membre fondateur, ainsi qu’un Incubateur technologique lien vers site et son Fab Lab qui ont déjà accompagné plus de 70 startups.
CentraleSupélec propose de nombreuse formations dédiées à l’entrepreneuriat dans le cadre de ses formations Ingénieurs ainsi que de ses Masters. En parallèle, l’École a développé tout un ecosystème autour de la formation à l’entrepreneuriat.
Début 2015, CentraleSupélec a lancé un Parcours Digital, la Digital Tech Year, une année supplémentaire dans le cursus ingénieur, destinée à une immersion technique à temps plein au sein de Paris Digital Lab au service de l'innovation des entreprises. Son objectif est de proposer aux élèves les plus motivés par les technologies de l’information une expérience avancée au contact d’entreprises, centrée sur l'innovation. Intégrés au sein de l’Innovation Factory, il accueille 25 hauts potentiels du numérique, sélectionnés parmi les étudiants ingénieurs de CentraleSupélec.
L’Institut Open Innovation
CentraleSupélec est membre fondateur de l’institut Open Innovation. Il a pour but de construire des relations durables, constructives et équilibrées entre grands comptes et start-up.
L’activité de l’Institut se décline en 3 volets : création et animation d’accélérateurs business, formations dédiées à l’open innovation, réalisation d’études et de travaux de recherche.
L’incubateur CentraleSupélec : un incubateur technologique
Créé en 2001, l'incubateur CentraleSupélec accueille et soutient des projets innovants et ambitieux, à un stade très précoce, portés ou non par des diplômés de CentraleSupélec. L’incubateur se spécialise désormais dans l’accompagnement de projets technologiques axés exclusivement parmi l’un des 7 enjeux sociétaux majeurs suivants : Santé et Biotechnologies, Nanosciences, Transport - Aéronautique, Systèmes d’entreprises, Systèmes de communication, Environnement - Risques et Energie.
En 13 ans, l’incubateur de CentraleSupélec, c’est :
70 entreprises créées
201 millions d’euros de chiffre d’affaires cumulé,
76,3 millions de fonds levés
541 emplois créés, ainsi que des centaines de stages,
taux de survie des entreprises de 79% (incluant les projets arrêtés en cours d’incubation)
taux de survie des entreprises de 88% parmi les entreprises qui sont sorties de l’incubateur.
1 MOOC dédié au financement d’entreprise et à l’incubation
Engagée depuis 2013 dans l’innovation pédagogique, CentraleSupélec a été la première en France à proposer un MOOC dédié au financement des entreprises et à l’incubation, enseigné par Jean-François Galloüin, Directeur Général de Paris&Co et Professeur à CentraleSupélec. Il enregistre plus de 11 000 inscrits.
En septembre 2018, CentraleSupélec a rénové totalement son 
Classée parmi les 200 meilleures universités mondiales par QS, CentraleSupélec est forte d’un réseau de 176 universités partenaires dans 45 pays, de 80 accords de double-diplôme, de 30% d’étudiants étrangers, de 24% de professeurs étrangers et d’un réseau d’Alumni de 35 000 hommes et femmes en activité sur tous les continents.
CentraleSupélec a beaucoup contribué à la définition du projet de l’
