Centrale supélec
 

Les 6 principes directeurs de mise en œuvre du Nouveau Cursus

  • Un cursus organisé autour de compétences : il s’agit d’apprendre à l’élève-ingénieur à mieux les utiliser et à les appliquer dans des situations nouvelles ;

  • L’élève acteur de son cursus et de son projet : le cursus proposera une très grande diversité de parcours, de rythme, permettant à chacun de faire des choix motivés, de construire son projet professionnel et d’acquérir les compétences visées ;

  • Une pédagogie active : générer un contexte favorable au développement de la motivation des élèves avec une pédagogie active proposant à l’élève une diversité de modalités d’enseignement, l’augmentation du travail personnel, des méthodes d’évaluation adaptées et des exigences plus élevées ;

  • Apprendre de manière autonome : l’élève aura la capacité à se former de manière autonome et efficace pendant sa formation d’ingénieur, comme il aura à le faire tout au long de sa vie professionnelle ;

  • Une école internationale dans un environnement adapté : pour attirer les meilleurs étudiants du monde entier, aptes à travailler en milieu international et être reconnu par les meilleures entreprises et institutions, le cursus continuera à recruter des enseignants-chercheurs internationaux, et garantir à ses élèves la possibilité de suivre des parcours entièrement en anglais ;

  • Evolution du métier d’enseignant : renforcement des interactions, liens plus étroits avec la recherche, travail en équipe mono ou pluridisciplinaire, innovations pédagogiques.

centrale supélec

Le nouveau cursus se construit sur un fondement majeur et novateur : développer chez les élèves les compétences qui leur permettront d’aborder les situations les plus nouvelles et complexes dans leur globalité, avec pertinence, efficacité, créativité et sens des responsabilités. Il s’orientera également vers un parcours personnalisé, constitué de modules permettant à chaque élève de se former en fonction de son niveau de connaissances et de son projet professionnel.

 

L’École s’appuiera pour cela sur ses enseignants, véritables accompagnateurs de réussite, sur une pédagogie numérique favorisant l’autonomie des élèves, et sur ses liens avec la Recherche et les entreprises pour développer des enseignements en « mode projet ».

Pour candidater à une thèse à CentraleSupélec, le candidat doit être titulaire d’un diplôme de master ou d’un diplôme conférant le grade de master.
 

Le dossier de candidature en doctorat doit être déposé auprès de l’une des écoles doctorales à laquelle le directeur de thèse est rattaché et doit comporter au moins les éléments suivants : un sujet de thèse, un directeur de thèse, une unité de recherche, un financement. Les conditions d’admission sont définies au sein des écoles doctorales.
 

Le recrutement des doctorants s’effectue au sein des écoles doctorales.

 

Inscriptions

L’inscription pédagogique se fait au sein des écoles doctorales et l’inscription administrative au sein de l’établissement CentraleSupélec. Les inscriptions se font en ligne via le portail ADUM.
 

 

Coûts et financement

Le coût annuel de l’inscription en thèse est 391 euros. Les financements proviennent du MESR, des industriels, des organismes de financement (ANRT, Digiteo, …),voir : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid76053/le-financement-doctoral.html.
 

Charte des thèses

La charte formalise l'accord conclu entre le doctorant, son directeur de thèse, le directeur de l’unité dans laquelle est préparée la thèse de doctorat, le directeur de l’école doctorale de rattachement et l’établissement d’inscription. L'objectif de cette charte est de garantir le bon déroulement du doctorat et de favoriser la poursuite et la réussite de la carrière du jeune chercheur. Pour chaque signataire, elle précise les droits et les devoirs.
 

 

Formations transverses

Les doctorants sont invités à suivre des enseignements complémentaires (120 heures sur trois ans), en plus de leur travail de recherche, destinés à conforter ou compléter leur culture scientifique et préparer leur avenir professionnel.

Depuis le nouvel arrêté du 25 mai 2016, les doctorants préparent une convention de formation signée par le directeur de l’école doctorale, et constituent notamment un portfolio de formations répertoriant les compétences acquises pendant leur thèse.

CentraleSupélec participe à l’offre de formation à l’insertion professionnelle en ouvrant des formations transverses, mutualisées au sein des collèges doctoraux. Ces formations sont organisées en parcours, afin de donner plus de lisibilité au doctorant sur les secteurs d’activités et les secteurs concernés par l’offre de formations. Certaines formations sont labellisées (CDEFI, …).

Des visites en entreprises sont proposées chaque année dans le cadre des Doctoriales (séminaire résidentiel de 5 jours destiné à préparer l’insertion professionnel des doctorants) ou des parcours de formations transverses.

 

Missions complémentaires

Pendant sa formation, dans le cadre du contrat doctoral, le doctorant a la possibilité d’effectuer une mission complémentaire rémunérée représentant 1/6ème de son activité (renouvelable sous certaines conditions). Ces missions sont :

  • Des missions d’enseignement (64 heures équivalent TD) permettant ainsi aux doctorants d’exercer une activité d’enseignement en lien avec l’un des départements d’enseignement

  • Des missions de conseil et d’expertise pouvant être effectuées dans une entreprise, une collectivité territoriale, une administration, un établissement public, une association ou une fondation

  • Des missions de valorisation des résultats de la recherche scientifique et technique

  • Des missions de diffusion de l’information scientifique et technique

  • Un appel à candidatures est ouvert chaque année.

 

Cotutelles internationales

Afin de favoriser la mobilité des doctorants et développer une coopération scientifique internationale, un doctorant peut effectuer sa thèse en cotutelle entre deux établissements, l’un en France et l’autre à l’étranger. La cotutelle est réalisée soit à partir d’un accord-cadre signé entre les deux établissements et  d’une convention d’application, soit à partir d’une convention individuelle.

Sur le campus de Paris-Saclay (Gif-sur-Yvette)

  • Label européen

Afin de reconnaître la dimension européenne d’un projet doctoral, l’université Paris-Saclay délivre un label « Doctorat Européen » au doctorant ayant une expérience de mobilité en Europe d’au moins trois mois ainsi que sur d’autres critères

  • Association des doctorants

Il existe actuellement deux associations de doctorants à CentraleSupélec. Les associations organisent des animations scientifiques, des événements sociaux ou des rencontres avec les entreprises et des rencontres entre doctorants de CentraleSupélec et du GEC. Les doctorants participent activement à la vie de l’école.

Centrale supélec

Notre mission est de former à et par la recherche, et de préparer ainsi les doctorants aux métiers de la recherche et du développement, dans le secteur public comme dans le secteur privé. CentraleSupélec assure à la fois à ses doctorants une formation scientifique de haut niveau et garantit, par son lien avec les entreprises, leur insertion professionnelle. Ainsi, outre leur projet de recherche, les doctorants sont invités à suivre des enseignements complémentaires, destinés à conforter ou compléter leur culture scientifique et préparer leur avenir professionnel. La formation doctorale s'inscrit dans une logique de professionnalisation en apportant à ses doctorants toutes les compétences nécessaires à la réussite de leur carrière professionnelle dans les domaines de l'innovation, de la recherche et du développement. CentraleSupélec participe à l’offre de formation à l’insertion professionnelle en ouvrant des formations transverses, mutualisées au sein des collèges doctoraux.

Campus de Paris-Saclay

Depuis septembre 2015, le doctorat réalisé au sein du campus de Paris-Saclay, est sanctionné par un diplôme unique de doctorat délivré par l’université Paris-Saclay. Le collège doctoral de l’université Paris-Saclay réunit 21 écoles doctorales thématiques fédérées autour des laboratoires de recherche. CentraleSupélec collabore avec 5 des Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay : 

 

Campus de Rennes  

L’école doctorale Matisse (Mathématiques, télécommunications, informatique, signal, systèmes, électronique) constitue la plus importante école doctorale du périmètre Rennais en termes de doctorants et de thèses soutenues chaque année.

Les spécialités de l’école doctorale sont regroupées en quatre grands domaines scientifiques :

  • le domaine AST : Automatique, Productique et Robotique - Signal, Image, Vision - Télécommunications
  • le domaine EGE : Électronique - Génie Électrique - Photonique - Composants et dispositifs pour l'électronique et la photonique
  • le domaine INFO : Informatique
  • le domaine MI : Mathématiques et leurs Interactions

Conditions d'admission

 

Campus de Metz 

Depuis la fin des années 1980, la recherche en Lorraine s'est organisée en domaines disciplinaires, regroupant plusieurs établissements d'enseignement supérieur et organismes publics de recherche. 
CentraleSupélec est actuellement habilitée à délivrer le diplôme de doctorat pour les écoles doctorales suivantes : 

L'école doctorale C2MP a pour vocation à former des chercheurs de haut niveau scientifique dans les domaines des sciences chimiques - mécaniques - physique et science et ingénierie des matériaux. Outre un niveau d'excellence sur un thème précis, les doctorants issus de C2MP possèdent une culture scientifique, sociétale, entrepreneuriale et humaine qui en font des futurs acteurs d'avant-garde et responsables. 

Conditions d'admission

  • École Doctorale IAEM (Informatique, Automatique, Électronique, Électrotechnique, Mathématiques)

L’Ecole Doctorale IAEM-Lorraine organise la formation doctorale des disciplines Informatique, Automatique, Electronique-Electrotechnique, Mathématiques de l’Université de Lorraine. Elle forme annuellement environ 80 docteurs principalement dans les domaines scientifiques Mathématiques et Sciences et Technologies de l'Information.

Conditions d'admission

 

Cotutelles internationales 

Afin de favoriser la mobilité des doctorants et développer une coopération scientifique internationale, un doctorant peut effectuer sa thèse en co-tutelle entre deux établissements, l’un en France et l’autre à l’étranger. 
La cotutelle est réalisée soit à partir d’un accord-cadre signé entre les deux établissements et d’une convention d’application, soit à partir d’une convention individuelle.

Afin de reconnaître la dimension européenne d’un projet doctoral, l’université Paris-Saclay délivre un label « Doctorat Européen » au doctorant ayant une expérience de mobilité en Europe d’au moins trois mois ainsi que sur d’autres critères.

Au sein de son centre de recherche, CentraleSupélec accueille chaque année sur ses campus (Paris-Saclay, Metz et Rennes) plus de 400 doctorants dans l’un de ses 18 laboratoires.

Ces unités de recherche représentent 1200 personnels de recherche et couvrent des thématiques de recherche autour des systèmes complexes :

  • Génie Electrique, Electronique
  • Génie Industriel, Economie et Gestion
  • Informatique et Systèmes d'Information
  • Matériaux et Procédés
  • Mathématiques Appliquées
  • Mécanique, Energétique et Combustion
  • Physique Appliquée
  • Traitement du signal, Automatique

Afin de maitriser la complexité des systèmes et de répondre à neuf enjeux sociétaux :

  • Aéronautique et Spatial
  • Biotechnologies
  • Cybersécurité
  • Energie, Transports et Nouvelles Mobilités
  • Industrie du futur
  • Réseaux et Télécommunications
  • Santé et Vivant
  • Sciences des Données et Intelligence Artificielle

La politique de recherche de CentraleSupélec et les laboratoires de recherche se tournent vers une approche interdisciplinaire dans le but de favoriser les synergies entre les laboratoires, tout en assurant un continuum entre la recherche amont et la recherche en lien avec les industries et les services. CentraleSupélec assure à la fois à ses doctorants une formation scientifique de haut niveau et garantit par son lien avec les entreprises l’insertion professionnelle de ses futurs docteurs.

Une offre de formations d’ingénieur totalement rénovée

En 2018, CentraleSupélec a totalement rénové son offre de formation d’ingénieur, afin de répondre toujours mieux aux besoins des entreprises et de la société. Elle propose une formation d’ingénieur généraliste innovante, bâtie à partir du meilleur des 2 anciens cursus précédents (Centrale Paris et Supélec).

Le futur cursus généraliste CentraleSupélec : un projet emblématique de l'Ecole pour 2018

L'ingénieur CentraleSupélec est un(e) ingénieur(e)-entrepreneur(e) de haut niveau scientifique. Au sein d’une école internationale et dans un environnement adapté prenant en compte l’évolution du métier d’enseignant, la formation Ingénieur CentraleSupélec a pour principe directeur un cursus organisé autour de compétences, fort d’une pédagogie active. Il permet à chaque élève ingénieur de construire lui-même son parcours de formation au regard de son projet professionnel.

Le nouveau cursus se construit sur un fondement majeur et novateur : développer chez les élèves les compétences qui leur permettront d’aborder les situations les plus nouvelles et complexes dans leur globalité, avec pertinence, efficacité, créativité et sens des responsabilités. Il s’orientera également vers un parcours personnalisé, constitué de modules permettant à chaque élève de se former en fonction de son niveau de connaissances et de son projet professionnel.
 

 

 

En septembre 2017, CentraleSupélec a ouvert les portes de son tout nouveau campus à Gif-sur-Yvette officiellement intitulé "Campus Paris-Saclay" sur le plateau de Saclay, 105 000 m2 d’excellence et d’innovation composé de 4 bâtiments, dont deux entièrement neufs, destinés à favoriser l’échange et la transversalité.

D’importants équipements mutualisés (logements étudiants, learning center, bibliothèque, gymnase, terrains de sports, etc) complètent cet ensemble qui, à terme, formera aux côtés de l’ENS Paris-Saclay et de l’Université Paris-Sud le plus grand quartier du plateau de Saclay : le quartier du Moulon.

Situé à 25km au sud de Paris, il drainera plus de 30 000 personnes, dont 8 000 étudiants et des salariés des secteurs du public et du privé.

Ci-dessous, le bâtiment Francis Bouygues.

Ci-dessous, le bâtiment Gustave Eiffel.

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Saclay 2.0 : la campagne de mécénat dédiée au nouveau campus

 

Forte du soutien d’une soixantaine d’entreprises partenaires et de 3 500 diplômés, la Fondation École Centrale Paris a lançé en 2014 « Saclay 2.0 », sa nouvelle campagne de mécénat dédiée à la construction du nouveau campus CentraleSupélec. Avec pour objectif de réunir d’ici 2017 les 10% du budget de construction du campus devant être issus du mécénat, soit 25 M€, la campagne clôturait l’année 2015 avec 16 M€ collectés et 4 200 donateurs particuliers.
Ce succès témoigne de l’attachement des Alumni à leur École, et de leur enthousiasme pour ce beau projet.

 

 

Une volonté : poursuivre le développement des campus de Metz et de Rennes

 

Si la réussite du futur campus de Saclay constitue l’un des projets phares de son avenir, CentraleSupélec place également la poursuite du développement des campus de Rennes et de Metz au cœur de ses priorités. Accueillant 524 étudiants, les campus de Bretagne et de Lorraine brillent par leurs laboratoires de recherche et leur ancrage sur des territoires favorisant les relations avec les PME et ETI, appelées à jouer un rôle majeur en matière d’innovation et de création d’emplois.

 

 

Campus de Rennes

 

Depuis 1972, le campus CentraleSupélec de Rennes est implanté dans un environnement technologique de haut niveau au sein du technopôle Rennes Atalante et MEITO où sont rassemblés centres de recherche, institutions d'enseignement supérieur et entreprises de pointe. Fort de 275 élèves-ingénieurs et de 28 étudiants en Mastères Spécialisés, le campus accueille trois majeures de 3e année :

  • ISA : Ingénierie des Systèmes Automatisés,
  • SERI : Systèmes Électronique, Réseaux et Images,
  • SIS : Systèmes d'Information Sécurisés.

Le campus porte également 2 Mastères Spécialisés : Cybersécurité (Sécurité des Systèmes d'Information)  en partenariat avec TELECOM Bretagne et Architecte de Systèmes Embarqués.

 

Ces activités académiques sont menées en étroite liaison avec l'Université de Rennes 1 au sein de l'école doctorale MATISSE et de l'Université Bretagne Loire.

CentraleSupélec, à travers son campus de Rennes, est également membre fondateur du pôle de compétitivité à vocation mondiale Images et Réseaux et de l'Institut de Recherche Technologique B<>Com.

 

 

Campus de Metz

 

Ouvert en Lorraine en 1985, le campus CentraleSupélec de Metz accueille 221 élèves-ingénieurs, répartis sur les trois années d'études. Les options de 3e année sont ouvertes, dans le cadre de la mobilité inter-campus, à l'ensemble des élèves de l'École. Elles recouvrent les domaines des "Systèmes Photoniques et de Communication" et des "Systèmes Intéractifs et Robotiques".

 

Les activités de formation continue et de recherche se développent sur les mêmes thèmes, au sein des équipes d'enseignement et de recherche du campus messin. Les équipes de recherches du campus de Metz sont IMS (Information, Multimodalité & Signal) et OPTEL (Optique et électronique pour les télécoms). Le campus de Metz compte un Laboratoire associé LMOPS : Laboratoire Matériaux Optiques, Photoniques et Systèmes avec l’Université de Lorraine.

 

La plus grande université d’Europe

 

L’Université Paris-Saclay fédère 14 établissements d’enseignement et de recherche, 60 000 étudiants, 6 000 doctorants, 9 000 enseignants-chercheurs et chercheurs. Elle déploie en outre un modèle novateur conjuguant formation, recherche et innovation, plaçant l’étudiant en son centre dans une dynamique d’excellence et de réussite.

Premier pôle scientifique européen, le cluster Paris-Saclay représente quant à lui un territoire s’étendant sur 49 communes et abritant 350 000 emplois et 13% de la recherche française.

CentraleSupélec est membre-fondateur de l’Université Paris-Saclay. Elle co-opère 5 Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay et propose la totalité de son offre de Master en région parisienne dans son cadre.

 

 

Une implication croissante dans les projets phares de l’Université Paris-Saclay

Occuper une place de leader au sein de l’Université Paris-Saclay, c’est pour CentraleSupélec savoir créer des synergies avec l’ensemble des acteurs académiques et industriels du plateau, et générer des idées et projets contribuant à la réussite et au rayonnement de l’Université.

 

Une recherche moteur de leadership

C’est d’abord par sa recherche que CentraleSupélec s’est imposée comme un pilier du cluster Paris-Saclay :

  • en créant  en 2009 le Collège des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (CSIS)
  • en remportant 12 appels d’offre dans le cadre du programme Investissements d’Avenir, destiné à doter l’Université Paris-Saclay de laboratoires et équipements mutualisés d’excellence

 

Depuis, CentraleSupélec participe à 6 laboratoires d’excellence (LABEX) et un équipement d’excellence (EQUIPEX) et un IRT (Institut de Recherche Technologique) et co-dirige 5 Écoles Doctorales de l’Université Paris-Saclay.
 

Voir partie recherche

 

 

Pour soutenir ses activités de recherche, CentraleSupélec a  développé des plates-formes de technologiques de pointe, dans le cadre d’équipements propres ou de collaboration avec ses principaux partenaires.

SINAPSE : salle 3D immersive pour la recherche et l’enseignement

Digiscope est un réseau de plateformes pour la visualisation interactive de grandes quantités de données et de calculs complexes. Installées au sein de l'Université Paris-Saclay, les dix salles de Digiscope sont interconnectées par un réseau de téléprésence permettant la collaboration distante. Les applications visées sont la recherche scientifique, la conception industrielle, l'aide à la décision et la formation. CentraleSupélec a développé l’équipement Sinapse (Salle Interactive Numérique d’Affichage pour Pédagogie et Science d’Excellence), un mur d’images reposant sur un système de rétroprojection en 3D sur un écran d’environ 11m2. Les utilisations principales de la plateforme sont la visualisation de données scientifiques issues du calcul haute performance, l’enseignement et les projets d’élèves.

Pour augmenter l’immersivité, el suivi du mouvement est assuré par 4 caméras infra-rouges. La puissance de calcul pour le rendu temps réel est assurée par une machine possédant 32 cœurs, 1 To de RAM, 2 cartes graphiques Nvidia K6000 et des disques SSD.

 

Mésocentre de calculs : de très hautes performances

Actif depuis 2010, le mésocentre de CentraleSupélec offre un service de haute performance pour la recherche dans le domaine de la simulation numérique. Y sont en effet développées de nouvelles méthodes numériques adaptées au calcul parallèle, et des codes destinés aux supercalculateurs nationaux et européens. C’est aussi un lieu de rencontre et d’échange de savoirs par le biais de séminaires et de formations.

Jusqu’en 2014, il offrait une puissance de 816 cœurs de calcul et plus de 2 Tera octets de mémoire vive et environ 30 Tera octets de stockage, la plateforme enregistrait un taux de charge proche de la saturation, notamment dû à son nombre croissant d’utilisateurs. L’extension mise en place offre 288 cœurs de calcul et 384 Giga octets de mémoire supplémentaires, avec pour résultat des machines plus rapides et plus efficaces.

 

Microscope MEB-FIB Helios 660

Au sein du laboratoire LMPS, l’Helios-660 combine micrsoscopie électronique à balayage (MEB) et usinage ionique de haute précision à l’aide d’un faisceau focalisé (FIB). Il est équipé d’outils d’analyse cristallographique (EBSD) et chimique, ainsi que de 7 différents détecteurs pour l’imagerie électronique.

 

Il permet ainsi :

  • une imagerie haute résolution de la surface d’échantillons (résolution allant jusqu’à 0,7 nm en basse tension) ;
  • le prélèvement d’échantillons tels que la préparation de lames MET observées ensuite potentiellement jusqu’à la résolution atomique ;
  • la caractérisation complète de la microstructure en trois dimensions (analyse cristallographique et chimique) ;
  • l’observation des interfaces à ces échelles ;
  • la reconstruction tridimensionnelle d’un échantillon, par exemple de nanoparticules et de leur enchevêtrement ;
  • l’usinage de petits échantillons prélevés à des endroits précis de la surface sur des échantillons conducteurs ou non (neutraliseur de charges disponible pour les échantillons isolants).

La colonne électronique (500 V-30 kV) permet, grâce à un monochromateur ainsi qu’une platine de décélération de faisceau, d’atteindre des résolutions sub-nanométriques. Elle est équipée de nombreux détecteurs pouvant éventuellement superposer leurs signaux permettant ainsi de révéler au mieux les plus petits détails de la microstructure. La colonne ionique, avec une résolution de 4 nm, permet un gravage précis de structures complexes à l’échelle nanométrique que ce soit pour la préparation de lames pour la microscopie en transmission ou pour la caractérisation tridimensionnelle.

 

MET TITAN

Le TITAN3 G2 peut fonctionner avec plusieurs tensions (60 à 300 kV), permettant un compromis entre résolution ultime et dégradation du matériau. D’une très grande stabilité, il peut fonctionner en mode sonde avec correction d’aberrations, d’où une très bonne résolution spatiale.

Couplé aux différents moyens d’analyse (chimique par dispersion d’énergie X, ainsi qu’électronique par pertes d’énergie des électrons), ce mode permet d’obtenir une cartographie à la fois structurale, chimique et électronique des matériaux à l’échelle atomique. Autre possibilité de couplage, la tomographie avec les analyses chimiques précédemment citées permet une véritable nanotomographie chimique car présentant une résolution ultime de 1 nm. Plusieurs autres modes d’observation cités auparavant peuvent être couplés.

 

Torche à plasma

Inaugurée en novembre 2014, la torche à plasma a été créée au sein du laboratoire EM2C  pour tester les matériaux qui protègent les capsules spatiales lorsqu’elles pénètrent l’atmosphère.

Complétant les technologies existantes pour l’étude de la rentrée atmosphérique, cette torche offre assez de puissance pour générer des plasmas d’entrée réalistes, à des températures allant jusqu’à 10 000 K.

Elle est en outre équipée de diagnostics optiques de pointe afin de mieux comprendre la physique du rayonnement et de l’ablation, et contribuer ainsi au développement de modèles plus précis de ces phénomènes. Plus globalement, elle sera d’une aide nouvelle et précieuse pour renforcer la recherche européenne et la technologie dans le domaine des plasmas spatiaux.

 

Nano-Tomographe à rayons X

Installé au sein de la Chaire de Biotechnologie, sur le campus recherche de Reims de CentraleSupélec, le Nano-Tomographe à rayon X (EasyTom de RX-solution) offre la possibilité de réaliser une description tridimensionnelle des objets, couvrant une échelle sub-micrométrique (400 nm) sur des échantillons millimétriques jusqu'à des échelles micrométriques sur des échantillons centimétriques. Cet instrument est un moyen non destructif d’observation, permettant la génération de données essentielles pour caractériser la structure interne des objets en trois dimensions. Il est doté de deux sources de rayons X, comprenant une source scellée µ-foyer de 150 kV et une source ouverte nano-foyer de 160 kV. Pour plus de flexibilité, il est équipé de deux imageurs : un scintillateur couplé à une CCD pour une résolution élevée et un capteur plan matriciel permettant des acquisitions rapides et avec de grands échantillons. Le dispositif est complété par le logiciel de traitement d’images Avizo.

Les applications de cet équipement sont variées, englobant la détection des défauts dans les composants tels que la porosité et les fissures, ainsi que la caractérisation et l'analyse de la microstructure des matériaux hétérogènes, notamment composites, céramiques, produits biologiques. Les images 3D permettent une représentation digitale de la morphologie destinée à la prédiction des propriétés macroscopiques par résolution numérique de problèmes homogénéisation.  Enfin, cet équipement permet l'inspection 4D (3D spatial résolu en temps) des objets lors de sollicitations variées (chargements hydriques, mécaniques ou thermiques).

Cet équipement a été acquis en 2017 avec l'aide de :

 

Smart Room

La SmartRoom est une plateforme d'expérimentation du campus de Metz de CentraleSupélec.

Elle intègre un réseau de capteurs (caméras, microphones) et des systèmes de diffusion d'information (écrans, haut-parleurs). La plate-forme robotique permet d'expérimenter les recherches réalisées dans le domaine de la robotique cognitive et interactive dans un environnement ou cohabitent personnes et robots.

Cette plateforme permet de mettre en situation les recherches menées par les équipes de recherche de l'UMI n°2958 GeorgiaTech-CNRS (IDMaD et MALIS) dans les domaines du traitement du signal, de l'apprentissage numérique et symbolique et du calcul distribué.

Elle est également ouverte à d'autres projets extérieurs académiques ou industriels.

 

Light stage

Alors que les géants de la création multimédia s’arrachent les meilleurs infographistes pour concevoir des films et des jeux-vidéo toujours plus réalistes, des chercheurs de l’Université de Californie du Sud ont mis au point un scanner 3D haute résolution permettant de capturer les propriétés lumineuses (texture et réflectance) de n’importe quel objet, vivant ou non.

Les raisons de tels travaux de recherche ? Le cerveau humain est capable de discerner les images de synthèse des images réelles avec un taux de réussite dépassant l’entendement. Cette capacité est d’autant plus affutée qu’il s’agit d’un visage humain, la plus petite imperfection lui faisant perdre toute trace de réalisme.

C’est ici que la technologie Light Stage intervient. Celle-ci est capable de générer un modèle lumineux 3D ultra-haute définition d’un visage humain voire d’un acteur complet ! Il suffit alors d’utiliser un algorithme adapté pour intégrer ce modèle dans une scène donnée. Le résultat est bluffant, et même nos cerveaux ne parviennent plus à faire la différence.

Un groupe de quatre étudiants du campus de Rennes s’est lancé dans la réalisation d’un tel système, une première en France !

 

 

La technologie Light Stage mise en lumière

Cartographie des normales, obtenues par un Light Stage

Un modèle complet de visage humain est donné par un modèle 3D ultra fin associé à une texture et à une matrice de réflectance. La prouesse réalisée par la technologie Light Stage actuelle est notamment la capture de ce modèle 3D, les technologies antérieures ne permettant l’extraction que d’un modèle grossier par stéréoscopie.

L’obtention d’un tel degré de détail est rendue possible grâce à l’exploitation des propriétés spécifiques de la peau : la lumière directement réfléchie conserve sa polarisation, alors que celle réfléchie par transluminescence la perd partiellement. Par filtrage et différence, il est possible d’extraire la réflexion spéculaire du visage, selon toutes les directions de l’espace.

C’est cette information qui, par transformations mathématiques assez simples, révèle les moindres détails de la géométrie du visage, jusqu’au moindre pore de la peau !

 

Plateforme de spectroscopies électroniques

Cette plateforme est utilisée par le Laboratoire de Génie Electrique de Paris.

Principe des spectroscopies électroniques : Analyse chimique de surface des matériaux (sauf H et He) et information sur leur structure électronique. Analyse qualitative, quantitative et non destructive sous ultravide (10-9 -10-10 Torr).

Profondeur d’analyse : Spectroscopie de photoélectrons X (XPS) :3 à 5 nm; Spectroscopie Auger :de l'ordre de 2 nm; Spectroscopie de photoélectrons UV (UPS) :1 nm

Contact : David Alamarguy.

1 - Intelligence artificielle appliquée à la détection de fraude sur les paiements et le trading

La société Lusis est l'éditeur de TANGO, une plateforme transactionnelle à haute performance pour les systèmes de paiements et la finance de marché. Sur la base de cette plateforme Lusis réalise des systèmes de paiement complets, incluant la détection de fraude, ainsi que des plateformes de trading "front to back" extrêmement riches et complexes sur lesquelles se traitent aujourd’hui plus de 5 Milliards de dollars par jour, répartis pour moitié sur le Forex et sur les Indices et Matières Premières. Lusis et CentraleSupélec se sont associés pour créer une chaire de recherche et renforcer ainsi leur collaboration dans le domaine de l’intelligence artificielle appliquée au domaine bancaire.

Lancée en 2020, la Chaire d’Intelligence Artificielle Lusis - CentraleSupélec développe deux axes principaux de recherche :
- la détection de fraude aux paiements par carte bancaire
- le trading automatisé

Site dédié

 

 

2 - Chaire de Biotechnologie
 

    

Inaugurée en novembre 2010 et renouvelée en 2020, la Chaire de Biotechnologie de CentraleSupélec est actuellement cofinancée par le Département de la Marne, le Grand Reims, la Région Grand Est et l’Union Européenne avec le Fonds Européen de Développement Régional FEDER Champagne Ardenne 2014-2020.

La Chaire de Biotechnologie est basée au sein du Centre Européen de Biotechnologie et de Bioéconomie (CEBB), également soutenu par ces quatre collectivités.

Adossée au Laboratoire de Génie des Procédés et Matériaux  (Gif-sur-Yvette, 91), la Chaire assure un lien étroit entre son établissement de tutelle, CentraleSupélec, et les acteurs économiques et académiques du territoire, en mettant son expertise de R&D au service de projets innovants. CentraleSupélec, avec sa formation d’ingénieurs généralistes de haut niveau, dispose d’une forte expertise en modélisation appliquée au génie des (bio)procédés et aux (bio)matériaux. Elle intervient notamment sur trois domaines d’application :

- Caractérisation et conversion des lignocellulosiques

- Biotransformation

- Techniques séparatives.

En complément des approches expérimentales, les trois axes thématiques de la Chaire s’appuient sur un socle de compétences en Modélisation, simulation & visualisation plus particulièrement orienté vers la modélisation du vivant et le passage à l’échelle industrielle.

Partenaires :

  • Titulaire: Patrick PERRE du laboratoire  LGPM
  • Partenaires : Grand Reims, département de la Marne, région Grand Est, Union Européenne

Site dédié

 

3 - Chaire FlexTech

   

La Chaire FlexTech est une chaire de recherche et d’enseignement dédiée à l’intégration humains-systèmes dans les systèmes complexes à autonomie croissante. Elle se base sur la démarche innovante du Human Centered Design (HCD), place l’humain et les organisations au cœur des problématiques industrielles et sociétales. Cette méthode a fait ses preuves depuis vingt ans dans les domaines de hautes technologies (notamment aérospatiales) nécessitant une approche flexible et demande à être développée sur le plan scientifique et technique.

Imaginée et créée  par le professeur Guy André Boy avec le laboratoire Génie industriel et l'école d'ingénieurs ESTIA, cette chaire est conçue pour répondre aux attentes des industriels et des collectivités, confrontés à la complexité croissante des produits et services qu’ils mettent en place : numérisation d’opérations complexes à distance, gestion de flottes de robots, gestion de véhicules ayant divers degrés d’autonomie, entraînement de personnels sur des systèmes de simulation incluant des systèmes réels et virtuels, utilisation de jumeaux numériques pour aider au diagnostic de pannes et à l’intégration progressive de connaissances provenant du retour d’expérience, etc.

  • Titulaire: Guy André BOY du laboratoire  LGI
  • Partenaires : ESTIA, DGA
     

 

4 - Chaire Randstad

Ce partenariat académique et scientifique inédit s’intègre dans une approche résolument disruptive et éthique du processus de recrutement. Comme dans de nombreux autres  domaines  et  secteurs  d’activité, l’intelligence  artificielle, ses avancées et ses possibilités, ainsi que la masse et la richesse des données relatives à l’emploi disponibles, ouvrent de nombreuses perspectives pour l’amélioration des démarches de recrutement et les ressources humaines, que ce soit du point de vue du recruteur ou de celui du candidat.

- Une représentation plus complète et plus précise du candidat à l’emploi à partir d’un  ensemble de données diverses et hétérogènes  (CV,   données   historiques, données de navigation, profil  sur  les  réseaux  sociaux  professionnels, données issues des  interviews  vidéos,  conversations  avec  des  consultants,  chatbots...).  Cette multitude  de  données  suppose  de  bâtir  de  nouvelles  méthodes  de  collecte  et d’annotation des données afin de mieux connaître les candidats et leur potentiel.

- Le traitement  de nouveaux outils de  recrutement  comme l’entretien audio-vidéo,  à travers l’analyse des émotions et de la personnalité du candidat.  Ces  éléments peuvent  constituer  une  importante  valeur  ajoutée  pour  conseiller  les  candidats, à l’heure où l’attention des recruteurs se porte sur les compétences comportementales (soft skills).

- La conception et l’optimisation d’algorithmes dans le processus de recrutement (algorithmes de mise en correspondance entre un candidat et une offre, algorithme de recommandation ou techniques de recherche de candidats ou d’offres) avec une attention constante portée aux notions de transparence, de confiance et d’interprétabilité des algorithmes. Un des enjeux  supplémentaires est celui de non-discrimination  algorithmique. L’idée est d’explorer les moyens technologiques et humains permettant de garantir qu’un candidat n’est évalué que sur la seule base de ses compétences et de ses savoir-être, sans qu’un biais subjectif de pré-sélection n'intervienne dans le processus.

  • Titulaire : Céline Hudelot du laboratoire MICS
  • Partenaire : Randstad

 

 

5 - Chaire RTE
 

                         

RTE et CentraleSupélec ont signé un nouveau partenariat académique d’une durée de 5 ans.  L’objectif de cette « Chaire Transformation Digitale des Réseaux Electriques » : étudier les potentialités offertes par les technologies numériques pour la gestion du système électrique.

Depuis plusieurs années, RTE étudie les potentialités offertes par les technologies numériques dans la gestion du système électrique. Fort de ses étroites relations de nature scientifique et pédagogique avec CentraleSupélec, RTE a souhaité renforcer cette collaboration et inscrire ce nouveau partenariat sur le long terme afin d’accélérer ses processus d’innovation et de bénéficier de l’expertise scientifique d’équipes de recherche de premier plan avec lesquelles interagir dans le domaine des sciences de l’ingénieur.

C’est dans ce contexte qu’une chaire de recherche d’une durée de cinq ans a été signée. Le  développement  des  technologies  numériques  représente  un  formidable  levier  qui  transforme  la gestion, le développement et l’exploitation du système électrique. L’intégration de ces technologies dans le réseau de transport d’électricité permettra à RTE de tirer le meilleur parti des infrastructures existantes et de proposer de nouvelles façons d’accomplir ses missions dans le cadre de la transition énergétique.

La  conception  du  réseau  de  communication  qui  sera  déployé  pour  observer  et  contrôler  le  réseau  de transport d’électricité demandera de relever des défis pluridisciplinaires, propres aux réseaux d’énergie. Cette chaire impliquera ainsi plusieurs laboratoires et équipes de CentraleSupélec reconnus en France et à l’international autour de quatre disciplines-clés : Communications, Informatique, Contrôle et Décision, et Génie Électrique.

Au travers de ses cursus et de ses laboratoires, CentraleSupélec a été un des acteurs de tout premier plan pour développer cette vision devenue essentielle aujourd’hui : la convergence des domaines de l’Energie et des Communications. Grâce à une politique de soutien active, RTE crée un environnement solide de partenaires et d’experts dont les  compétences  complémentaires  permettent  de  développer  les  nouveaux  concepts  et  solutions  d’un réseau combinant électricité et digital.

  • Titulaire: Sorin Olaru (laboratoire L2S)
  • Partenaire : RTE

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6 - Chaire 5G - TCL
 

                                             

Alors que les usages et la quantité de données mobiles croissent à une vitesse sans précédent (multiplié par 18 en 5 ans), les réseaux doivent évoluer rapidement et radicalement pour satisfaire la demande. La norme de 5ème Génération "5G", dont une première version est en cours de définition, devra répondre à des objectifs très ambitieux tels que le débit (jusqu'à 20Gb/s), une latence faible, une énergie de consommation réduite ou encore un très grand nombre d'objets connectés par antenne. Ces objectifs sont en partie contradictoires et c'est de cette contradiction que naissent des opportunités d'appliquer des solutions scientifiques nouvelles, développées par la Chaire 5G et impliquant les chercheurs des laboratoires de CentraleSupélec et de TCL Communication.

 La Chaire de recherche a pour vocation de regrouper des acteurs des communications mobiles pour créer ensemble une avancée significative dans la 5G.

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7 - Chaire Photonique
 

               

Consciente que l'exploitation de la lumière est à la fois un enjeu sociétal et un vecteur de développement économique, CentraleSupélec a favorisé la création sur son campus de Metz de la Chaire Photonique. Cette chaire est unique en France par son projet structurant qui vise à la fois à développer l'excellence scientifique dans le traitement optique de l'information, à développer l'innovation et le transfert technologique vers les entreprises, et à développer la formation et l'éducation sur l'importance de la lumière et des technologies optiques. La Chaire Photonique est créée à l'initiative de CentraleSupélec et des partenaires suivants :

La photonique, qui regroupe les sciences et les techniques qui exploitent la lumière et les technologies optiques, est une des cinq technologies clés de l'Europe et traduit une réalité économique de plus de 50 000 emplois directs au sein de près de 750 entreprises en France. Comprendre et développer la photonique c'est aussi percevoir l'importance que les artistes, écrivains et philosophes ont accordé à la lumière, et mieux appréhender la place centrale qu'elle occupe à la frontière de plusieurs disciplines scientifiques comme les mathématiques, la physique, la biologie ou la chimie. La photonique est largement présente également parmi les défis technologiques clés qui s'annoncent pour notre société dans les dix prochaines années.

  • Titulaire : Marc Sciamanna
  • Partenaires : GDI Simulation, Union Européenne, Grand Reims, département de la Moselle, région Grand Est, Metz Métropole, Fondation CentraleSupélec

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8 - Chaire de recherche "Sécurité des systèmes embarqués, dans le contexte de l’Internet des objets"

 

                                                                                                                                                                      

 

La recherche porte en particulier sur la détection d’intrusion et le respect de la vie privée. Avec cette chaire, l’équipe CIDRE renforce ses compétences dans le domaine de la sécurité des systèmes embarqués et de l’Internet des objets (IoT – Internet of Things), à travers des activités de recherche de niveau international, mais toujours inscrites dans des préoccupations sociétales visant une valorisation industrielle au travers de partenariats bilatéraux et de projets coopératifs nationaux et internationaux.

Revoir la conférence inaugurale :

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  • Titulaire : Pierre-François Gimenez - Equipe CIDRE  (pfgimenez.github.io)

  • Partenaires : INRIA, Région Bretagne
     

 

9 - Chaire Supply Chain Management avec AIR LIQUIDE, L'OREAL et SAFRAN
 

 

Trois axes de recherche ont été identifiés par les partenaires de la chaire Supply Chain. Ils s’inscrivent dans le prolongement des travaux qui ont été menés depuis la création de la chaire en 2008.

- Gestion de la flexibilité
Le monde industriel actuel est caractérisé par un niveau d’incertitude croissant avec des attentes clients de plus en plus personnalisées et le changement de plus en plus rapide des marchés.
Pour faire face à ces incertitudes, il faut d’une part réduire leurs amplitudes, à l’aide de méthodes et des processus de prévisions performants, et d’autre part mettre en place de la flexibilité afin de faire face aux incertitudes résiduelles.

- Impact environnemental de la Supply Chain et développement durable
Le développement durable est devenu une préoccupation majeure des pouvoirs publics et des consommateurs.

- Mesure et animation de la performance
Ce thème s’intéresse aux systèmes de mesures et d’animation de la performance de la Supply Chain d’entreprises industrielles ou de distribution. Il recouvre deux sous thèmes interdépendants :
- La problématique de la mesure de la performance : spécification du système d’indicateurs de performances permettant d’évaluer de manière efficace et globale les différentes activités et processus de la Supply Chain,
- La problématique de l’animation de la performance : spécification des processus d’animation de performance, les acteurs impliqués et leurs rôles respectifs,  permettant à partir du systèmes d’indicateurs mis en place de piloter les activités et les processus de la Supply Chain pour connaître leur niveau de performance et identifier les leviers d’amélioration de ces performances et les enjeux associés.

  • Titulaire : Yves DALLERY du laboratoire LGI
  • Partenaires : Air Liquide, L'Oréal, Safran

 

10 - Chaire Risques et Résilience des Systèmes Complexes 

 

                                                                                                                                     

La chaire a pour ambition de faire progresser par la recherche, la discipline de la modélisation des systèmes complexes, de l’analyse des risques auxquels ils sont soumis et de l’optimisation de leur résilience, avec un double objectif d´excellence scientifique et de transfert.

Un système complexe ne peut pas se penser de manière isolée sans tenir compte de son environnement et des autres systèmes - souvent complexes - avec lesquels il interagit. On parle alors de systèmes de systèmes. Dans le cadre de la Chaire RRSC, un système complexe correspond à une entreprise, un opérateur, un partenaire industriel. Un système de systèmes est un système complexe qui implique plusieurs opérateurs ou partenaires industriels.

  • Titulaire : Anne BARROS du laboratoire LGI
  • Partenaires : EDF, SNCF, ORANGE, INSTITUT DE FRANCE-ACADEMIE DES SCIENCES, FONDATION CENTRALESUPELEC
     

11 - Chaire de Recherche Oxy-Combustion avec Air Liquide Oxy-combustion et CNRS
 

              

Les partenaires de la chaire Air Liquide Oxy-Combustion développent des activités de recherche dans le domaine de l’optimisation de la combustion et dans celui des transferts thermiques.

Le programme de recherche vise à améliorer la connaissance de l’oxy-combustion à haute pression de combustibles de nature différente dont les gaz sont dilués par du dioxyde de carbone ou de la vapeur d’eau, autour d’une plateforme expérimentale avec des accès optiques importants.

Il réunit des chercheurs spécialistes de l’expérimentation en oxy-combustion et des diagnostics, des transferts thermiques notamment par rayonnement et de la simulation des interactions entre la combustion, la turbulence et les transferts de chaleur.

  • Titulaire : Clément Mirat du laboratoire EM2C
  • Partenaires : Air Liquide, CNRS
  • Institution : ANR 

 

12 - Chaire Armand Peugeot : Technologies Hybrides et économie de l'électromobilité avec STELLANTIS et ESSEC

 

                                     

Sujet : Technologies hybrides et économie de l'électromobilité

Les hypothèses d’évolution de la mobilité sur les vingt prochaines années et la place des véhicules hybrides dans le marché sont souvent contradictoires.

Au-delà de toutes les incertitudes, l’affirmation la plus acceptée est que le développement de l’électromobilité va entraîner un bouleversement complet de l’offre et de la demande.

C’est pourquoi, l’objectif de la Chaire est de créer un espace d’échanges, de formations et de recherches prospectives pour construire des scénarios d’évolutions technologiques, économiques et marketing,

- Parce que l’automobile est un secteur en pleine réinvention,

- Parce que  les innovations se font en réseau et en partenariat,

- Parce que  les jeunes d’aujourd’hui seront les clients de demain.

 La chaire Armand Peugeot produit de la recherche prospective, en croisant des compétences d’ingénieurs, d’économistes et de gestionnaires, dans un partenariat entreprise-écoles.

Le partenariat entre STELLANTIS, CentraleSupélec et l’ESSEC permet de couvrir les champs pluridisciplinaires variés et complémentaires, nécessaires pour aborder la complexité des questions posées par le futur de l'industrie automobile dans un contexte de développement de l'électromobilité. 

Sa structure permet ainsi de convoquer autour d'un projet les sciences de l'ingénieur, les sciences économiques, les sciences de gestion et les sciences sociales.

  • Titulaires : Yannick PEREZ, Marc PETIT, Jan LEPOUTRE des laboratoires LGI et GEEPS
  • Partenaires : STELLANTIS, ESSEC, Fondation CentraleSupélec

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13 - Chaire Blériot Fabre : Robustesse, Contrôle et modélisation de systèmes embarqués aéronautiques, systèmes complexes avec SAFRAN

 

La chaire SAFRAN « Blériot-Fabre » répond à la volonté des partenaires de renforcer leur expertise en Sciences des Systèmes et apporter des innovations de rupture en matière de conception, simulation, architecture et développement de systèmes complexes, notamment dans le domaine des systèmes embarqués.

En effet, les systèmes développés par SAFRAN (systèmes de navigation, de contrôle moteur, de management de l’énergie, de sécurité des flux de passagers…) sont de plus en plus complexes, avec un nombre croissant de fonctions à intégrer, d’exigences à respecter et de performances à atteindre.

Le contexte de la Chaire de est celui de l’innovation intégrative pluridisciplinaire couplant :

- les modélisations fonctionnelle et dysfonctionnelle des architectures, et celles des sous-systèmes physiques (multi-métier, multi-physique, multi-échelle) en relation avec l’architecture du système,

- la simulation avancée (haute performance, temps réel)

- l’automatique et le contrôle,

- les approches statistiques et fiabilistes pour la robustesse et le monitoring des systèmes.

Les travaux de la Chaire visent à perfectionner les concepts, méthodes et outils d’intégration des différentes disciplines de l'ingénierie (mécanique, automatique, informatique...) pour aboutir à la validation et la vérification des propriétés des systèmes, donc à la satisfaction des besoins de leurs utilisateurs.

  • Titulaire : Antoine RAUZY du laboratoire LGI
  • Partenaire : SAFRAN

 

14 - Chaire Risques Achats dans les Projets Complexes avec TOTAL

L’entreprise TOTAL a souhaité renforcer ses engagements dans le champ scientifique des Achats de Projets Industriels, et s’associer à la création de la Chaire de Recherche CENTRALESUPELEC « Risques Achats de Projets Industriels Complexes ».

Un projet industriel complexe, depuis l’exploration jusqu’à la production, nécessite de mettre en œuvre  une chaîne logistique efficace pour les achats (contrats pour les biens, les services, les études, les données…). Les exigences, les consultations, la prise de décision, le contrôle (compétences, processus, performance technique, finance, qualité…) doivent être coordonnés avec les processus d’ingénierie (design, réalisation, tests,…)

De plus, les approvisionnements sont rarement en phase avec les besoins de l’entreprise (techniques, financiers, contraintes de délais…).

En quoi la recherche et la formation au processus de contrôle des exigences dans un environnement projets complexe peuvent-elles aider à atteindre une compétitivité durable ?

Les axes de recherche de la Chaire sont notamment :

- Mesurer les rapports coûts/qualité/délai et la création de valeur associée aux projets

- Mesurer la performance de la Supply Chain Projet

- Développer des outils d’aide à la décision sur les options de la stratégie Achats

- Analyser et mesurer les risques projets et leur gestion

 -Modéliser les comportements des projets antérieurs pour mieux anticiper

  • Titulaire : Franck MARLE du laboratoire LGI
  • Partenaire : TOTAL

     

15 - Chaire Mécatronique

 

                                                                        

La conception de systèmes embarqués, tels que ceux développés par FAURECIA pour l’automobile, fait appel à des méthodes spécifiques, prenant en compte des aspects multi-physiques, multi-technologiques, et multi-échelles.

La chaire FAURECIA « Mécatronique » a pour objet de définir des méthodes et de les valider sur des cas d’usage tels que la problématique de la compatibilité électromagnétique et thermique, la conception et la modélisation d’actionneurs intelligents et l’optimisation de leurs interfaces, ou encore l’effectivité concernant la consommation et la réutilisation de la puissance électrique pour les sièges automobiles, le contrôles des émissions, les postes de conduite, les extérieurs d’automobile et les véhicules intelligents.

Il convient de pouvoir construire des développements méthodologiques qui prennent en compte la complexité de ces systèmes, tout en assurant leur robustesse opérationnelle vis-à-vis des sources d’incertitudes ou de connaissances partielles de leur mode opératoire final, et ce dès la phase de conception.

Systèmes électroniques embarqués pour l’automobile, design de sièges intelligents, optimisation de systèmes d’émissions.

Les axes de recherche de la Chaire sont les suivants :

- Développement de techniques de conception prenant en compte cette complexité,

- Optimisation du comportement du système (rendue possible par des simulations intensives)

- Prise en compte des problématiques de sécurité et de sûreté de fonctionnement, dès la phase de conception

  • Titulaire : Laurent DANIEL du laboratoire GEEPS
  • Partenaires : FAURECIA, ESIGELEC

     

 

16 - Chaire ANTHROPOLIS

 

             

Sujet : Conception de Systèmes Urbains Orientée Usages

Les travaux de la Chaire portent sur des éco-innovations pour l’aménagement urbain et périurbain durable au service du citoyen et des collectivités, avec la prise en compte des interactions entre systèmes, et visent à placer l’humain au centre de la conception des systèmes et services de la ville et de son agglomération (conception centrée sur l’humain et les usages).

La Chaire s’intéresse plus particulièrement au cas d’application des interactions entre systèmes de mobilité (des individus et des marchandises) et les autres systèmes (système commercial, systèmes énergétiques, systèmes d’information, système d’urbanisation et de construction, etc.), en partant des objectifs propres de chaque usager et des collectivités publiques.

Ces systèmes et leurs interactions tiennent compte des nombreuses évolutions comme celles des nouvelles technologies de mobilité émergentes (voitures électriques, bus électriques et au gaz…), des nouvelles énergies pour la ville, la bourgade (PV organique, solaire thermique, biogaz..), des Smart Grids et des technologies de stockage d'énergies, de l’évolution des usages du bâtiment (d’habitation, de la gare, des parkings, des véhicules particuliers, …), et plus largement tout ce qui participe à l’évolution de la sociologie du citoyen (y compris les seniors) et les éco-innovations.

En effet, l’innovation naît de plus en plus d’initiatives individuelles ou de groupes spontanés. Ainsi doit-elle être cultivée avec une meilleure compréhension de l’évolution actuelle de la société de plus en plus numérique, fonctionnant en réseaux et où l’interactivité socio-technique est devenue une nécessité. Il convient de passer continûment des besoins individuels de chacun (de l’usager) aux systèmes de systèmes pour les satisfaire en intégrant les concepts (systèmes, services, usages, etc.), avec la gestion des différents flux urbains en interaction.

Il s’agit d’identifier les méthodes et les outils fondamentaux permettant de prendre en compte les besoins du citoyen-usager, de la ville et de la collectivité, dans les processus de conception des systèmes et services. L’expérimentation constitue une composante significative de ses travaux de recherche de la Chaire.

  • Titulaire : Jakob PUCHINGER du laboratoire LGI
  • Partenaires : IRT, SystemX, CPS, EDF, ENGIE, NOKIA, RENAULT

     

17 - Chaire Givaudan

 

                                                

 

Givaudan est un fabricant suisse de parfums, d’arômes et d’ingrédients actifs cosmétiques. En 2008, elle est devenue la plus grande entreprise de l’industrie de la parfumerie et des arômes. Givaudan détient 25% de parts de marché d’une industrie estimée globalement à 17 milliards de francs suisses.

Recherche : Data science

Durée : Chaire Initiale 4 ans. Data Sciences dedicated to flavours and fragrances.

In flavours and fragrances domains, massive data are complex and are pushing technical limits in many areas, specifically in decision-making and optimization.

The objective of this collaborative work between Givaudan and CentraleSupélec is to face the challenges “Data-to-Knowledge” and “Data-to-Decision” in an integrated way through cutting edge research. More precisely, one aims at developing breakthrough techniques for dealing with high-dimensional and multi-scale data. Givaudan has and creates, in its activities domain, massive data of different natures.

It is essential to exploit these data to improve the understanding or to provide innovative and challenging techniques in the perfumery. Mainstream statistical models and decision-making algorithms are challenged by such heterogeneous, multi-scale, complex, incomplete and/or uncertain data. In order to generate knowledge, build models and make informed decisions, statistical validity, robustness, computational tractability and causal modelling are mandatory. This is the scientific purpose of this Chair : developing advance Machine Learning techniques adapted to such data.

  • Titulaire : Frédéric Pascal du laboratoire L2S
  • Partenaire : Givaudan

     

18 - Chaire « Prévention et Performance dans le bâtiment et les travaux publics »

                                                             *                                                                                            

La chaire « Prévention et performance dans le BTP » est née des constatations d’une étude menée par l'Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics (OPPBTP) qui atteste de l’impact positif de la prévention sur les performances économiques des entreprises. Elle a trois objectifs :

- renforcer la base académique des travaux sur les liens prévention/performance au sein des entreprises 

- leur proposer un outil pertinent en termes de prévention

- comprendre les enjeux sociologiques associés

Deux thèses sont en préparation dans le cadre de la Chaire: une thèse en économie encadrée par Isabelle Nicolaï, professeur associée au Laboratoire de Génie Industriel, une thèse en psychosociologie encadrée par Pascale Molinier, professeur à l'Université de Sorbonne Paris Nord

  • Titulaire : Christian Michelot, chercheur au Département SHS
  • Partenaires: OPPBTP, EIFFAGE Génie civil, LEGENDRE, VINCI Construction terrassement

     

19 - Chaire Pilotage de l’Economie Circulaire
 

                                                 

Le travail sur les indicateurs de circularité constitue le socle scientifique de la chaire. Celle-ci est multipartite et multisectorielle. Les indicateurs y déclinés selon plusieurs axes sectoriels :

- Logistique du dernier kilomètre ;

- Autonomie des quartiers (alimentaires, énergétiques, de mobilité, de services de proximité…) ;

- Développement de symbioses industrielles en milieux urbains (partage de réseaux de chaleurs, traitements de flux, symbiose industrie-éco-quartiers…) ;

- Boucles alimentaires (production alimentaire locale…).

De plus, la chaire intègre une dimension économique dans l’ingénierie de l’investissement de biens/services durables afin de déterminer les leviers incitant les entreprises à investir dans des actions de fonds de pilotage effectif de l’écologie industrielle dans leurs activités.

  • Titulaire : Yann Leroy  du laboratoire LGI
  • Partenaires: Institut Louis Bachelier, SIOM, CPS, VALE NC

     

20 - Chaire Bridgeable

             Logo de Schneider Electric UPS                     IFP Energies nouvelles                                    

La chaire Bridgeable fait partie des 16 chaires sélectionnées par l’ANR. Bridgeable, pour BRIDinG thE gAp Between iterative proximaL methods and nEural networks, porte sur les liens existant entre les réseaux de neurones et certains concepts avancés d’optimisation, et elle est portée par Jean-Christophe Pesquet, directeur du Centre de vision numérique de CentraleSupelec et responsable de l’équipe Inria OPIS. Elle est financée à hauteur de 1,3 millions d’euros répartis entre l’ANR (500 000 €) et les trois partenaires de la chaire: Schneider Electric, GE Healthcare et IFPEN (800 000 €). 

Cette chaire a pour objectif de répondre à deux problématiques principales : l’explicabilité et la fiabilité de l’IA reposant sur des réseaux de neurones.  L’ambition applicative est de conduire à une nouvelle génération de techniques pour relever des défis se posant dans trois champs d’applications: l’imagerie médicale 3D, l’analyse de données du domaine de l’énergie et de l’environnement et la modélisation non-linéaire multivariée de systèmes électriques.

  • Titulaire : J.C. Pesquet du laboratoire CVN
  • Partenaires: Schneider Electric, GE Healthcare, IFPEN

 

 

 

 

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